Voyage

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Edward réveilla Julius d'un coup qui en effet par réflexe mis un coup de poind latéral bien esquivé par le blond, visiblement Edward avait toujours un aspect gamin. Il se prépara rapidement et descendit du train en compagnie des deux autre. Edward avait l'air mieux aujourd'hui. Le prochain train partait dans une demi heure direction Nantes, une fois là bas ils pourraient embarquer. En attendant le train Julius s'assit sur un banc il commença à se plonger dans un journal qu'il avait acheté. Balkman était lui à côté d'Edward, apparemment il ne lui faisait absolument pas confiance. Il faut dire que Julius s'étonnait qu'Edward n'ait oas encore tenter de leur fausser compagnie, et à vrai dire il était soulagé de voir que pour le moment le blond les suivait sans faire d'histoire. Mais Julius redoutait en fait le moment où il prendrait le bâteau. Il était en partance pour New York et une fois là bas il ferait une petite escale avant de partir pour l'Amérique du Sud. Julius avait peur qu'Edward leur fauche compagnie une fois là bas pour aller en Amérique du Sud. Mais de toute les façons les seules choses que redoutait Johnson à ce moment c'était qu'Edward tente de leut fausser compagnie, où que Balkman étonnamment bien luné ces temps ci se lève d'un mauvais pied et qu'Edward aille lui cherchait des ennuis.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward n’était jamais allez a paris, et il bassinait Balkman pour allez visité, et donc prendre le train qui était dans 4 heure et non pas celui qui était dans une demie heure. Et il était pire qu’un gamin, une femme, une prostituer, vain même le dragué ouvertement, mais le blond, préféra, l’ignorer, et partir.

Il entra dans une boutique, et acheta quelque chose, puis il revint vers Julius, et fit pendre devant le nez, de celui-ci un porte clef, qui représentait un chaton, tenant la Tour Effel entre ses papattes.

« Tien c’est pour toi, c’est ton anniversaire aujourd’hui si je me souviens bien ^^ »

Edward, avait pris appuis, sur l’épaule de l’homme, et lui sourie, il lui laissa dans les mains, et retourna bassiner Balkman, pour allez visité Paris.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius regarda le blond d'un air surpris, comment le savait-il ?
Puis il se rappela qu'un jour Edward l'avait bassiné une après midi entière pour savoir quand était son anniversaire et qu'il lui avait dit pour avoir la paix. Il ne dit rien et laissa Edward s'éloigner, il bassinait Balkman pour visiter Paris celui-ci lui répondit séchement qu'en 4 heures on avait pas le temps de visiter Paris comme il se doit. Il n'avait pas tort. Julius voyait bien qe Balkman commençait à en avoir marre aussi il se dirigea vers eux en entendant le train:

"T'as 19 ans non alors arrête de faire le gamin."

Il lui avait dit ça de façon rude. Il attrapa Edward par le col de la chemise le faisant presque tombait, il le traina brusquement à sa suite, puis il fit monter de force dans le train, Balkman semblait un peu surpris et les suivit avec les valises d'Edward. Julius balança Edward sur une banquette:

"Tu la boucles maintenant !!"

Il criait presque dans ses yeux on pouvait lire une colère incommensurable. Il se dirigea alors vers les toilettes laissant le blond seul avec Balkman, quelques instants après le train pris son départ.
Cela faisait maintenant 20 minutes que le train était partit, Julius n'était pas revenu. Il était dans les toilettes, l'eau du robinet coulait dans ses mains, lui il se regardait dans le mirroir.
Pourquoi une telle colère contre Edward, lui en voudrait-il de tout faire pour relier les liesn qu'ils avaient avant ? Oui c'était sûrement ça. Julius se regardait, il voyait un regard dur, presque mauvais où brulaient la colère, l'amertume et le désespoir. Puis par flash il vit Edward dans la glace, Edward qui souriait, qui lui tendait la main, presque comme un fils, il se rappela ses moments passés avec lui si agréables qu'il voulait à tout prix chasser. Il s'aspergea la tête à l'aide de ses mains mouillées. Il regarda le cadeau d'Edward et le serra dans sa main, très fort, puis il le regarda de nouveau, autrefois il aurait était content, mais la il était plus triste qu'autre chose. Il regarda de nouveau le porte clé et vit Edward lui donnant avec un grand sourire, il vit Edward lui disant qu'ils seraient toujours ensemble et qui'l lui faisait confiance, il revit Edward pleurer quand Julius avait voulu le laisser, puis trè vite il se vit lui, le sang coulant sur ses mains, des morts, lui qui avait toujours vécu ça sauf avec Edward il avait replongé, il vit Edward encore une fois, il souriait, Edward était si gentil avec lui, puis il se vit de nouveau, lui un démon, un assassin. Edward était depuis qu'il étit adulte la seule personne pour qui il avait éprouvé des sentiments. Edward il l'avait presque considérait comme un fils et maintenant il le faisait souffrir, les yeux d'Edward étaient bienveillants, doux, lui ses yeux brûlaient d'une flamme de destruction. edward vivait pour protéger ceux qu'ils aimaient, lui pour détruire et tuer.
Il ne supportait pas le regard du blond, ni son amitié, il ne pouvait pas l'accepter. Comment Edward avait-il pû l'aimer comme un père comment pouvait-il aimer un monstre comme lui. Oui Julius avait était pour la première fois de sa vie heureux avec Edward, masi ce n'était qu'un rêve et il fallait se réveiller.
Il ne supportait plus d'être avec le blond, car en présence de quelqu'un d'aussi gentil envers lui il se rendait compte à quel point il se détestait. Oui il se détestait du plus profond de lui même et sa colère venait de là.
Il se regarda une nouvelle fois, il s'était de nouveau mouillé le visage, il se détruisait lui même en se détestant, normal il ne savait que haïr et détruire.
Il regarda le cadeau du blond, puis se regarda et il brisa la glace d'un coup de poing. Il laissa soon poing un moment, il le retira et se regarda de nouveau, la glace était brisée et pleine de sang, il se voyait comme il était dedans. La glace lui renvoyait l'image de ce qu'il était en vrai et il haïssait cette image.
Il revaint après avoir arrêté l'hémorragie, cela faisait une deim heure qu'il était parti. Il rendit son cadeau à Edward lui faisant un non de la tête signe que tout était finit, il se détestait trop pour accepter l'amitié quelqu'un comme Edward. Edward pû remarquer que la main de Julius était blessée.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward était blessé. Mais il souri en coin, un sourire amer, un sourire qui ne devrais pas être sur son visage. A vrai dire depuis qu’il était dans ce monde, il était comme mort, ses cheveux et des yeux était terne, son teint, pale. Même si Edward était mignon, cela ne changeait rien pour lui. Il sorti un mouchoir, et le posa sur la main de Julius, puis sorti, en donnant le porte clef a Balkman.

« Un peut de douceur ne peut pas faire de mal, a des brutes non ? »

Et il sorti. Cela voulais tout dire. Cela voulais dire, j’en veux a Balkman, pour avoir rendu Julius comme par le passer, j’en veux a ce monde pourri, et surtout, je t’en veux a toi Julius, celui qui a part mon frère,é tait le seul a mettre un peut de soleil dans ma vie.

Sans que l’un ou l’autre des deux homme, n’ai le temps de réagir, Edward, était parti, avec sa mallette, ou se trouvait son argent dedans, ses papiers, délaissant, la valise de vêtement.

Le blond quitta le wagon, et alla a la porte, qu’il ouvris, regardant le paysage qui filait a vive allure. Le train s’engagea sur un pont. Il regarda en bas. Il préférait mourir que rester avec eux. Mais non, il ne savais pas nagé, donc non. Le train arriva en bord d’une descente d’une pleine, herbe haute, pouvait amortir sa chute.

Alors il sauta…

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Balkman réagit vite, pas Julius, les deux sautaires mais Julius pris machinalement le porte clé avec lui. Balkman sauta devant Julius et rattrapa vite le blond, solide de constitution il s'était remis du choc plus facilement. Julius lui s'était mal rattrapé, il était comme paniqué à l'inverse de Balkman calme, Julius était perdu. Il se relva difficilement et vit au loin Balkman fauché Edward d'un énorme coup dans l'arrière de la tête. Quelque chose frappa Julius, Edward avait l'air comme mort, on avait l'impression qu'il se fichait de tout. Balkman était furieux il regarda le train au loin:

"A cause toi on l'a..."

Il asséna un énorme coup de poing dans le visage d'Edward, puis un dans le ventre du blond, il sortit alors son poing américain:

"Tu mérites une correction."

Si Edward se prenait un coup de la force de ceux de Balkman avec un poing américain il serait en danger c'est sur. Julius se sentait bouillir il était perdu mais quelque chose monter en lui alors qu'il assistait à la scène sans rien faire pour le moment, comme paralysé par quelque chose en lui.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward, avait mal atterrit, il avait rouler bouler, puis avait eu beaucoup de mal a se relever, mais il fut aider par Balkman, qui l’avait attraper, mais pour le renvoyer a terre, en le frappant, et pas qu’ils fois. Encaissant les coup sans se défendre. Il était devenue habituer, rien que par la milice Allemande, ou une fois, au tout début de son arrivé, il avait demandez son chemin dans un allemand approximatif, il avait été rouer de coup. Sans son père, ce jours la, il aurais pus en mourir.

Au sol le blond regardait le grand homme a barbe blanche mettre son poing américain e place, il le regarda avec des yeux de défit.

« Je ne résisterais pas a un coup de ça, si je meure, mes secret meure avec moi… et de toute façon, allez, y, j’ai plus aucune raison de vivre, je m’en fiche ! »

De toute façon, il ne le supplierait pas d’épargner sa vie. Son cœur était déjà mort, alors que le reste du corps y passe, aussi, Edward, savait ce que cela faisait de mourir. C’était douloureux au début, puis, après, le calme plat, la sérénité. Il fixait l’homme avec défit. Edward n’avait pas peur de mourir, a son jeune age, il avait déjà que trop vécu.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Balkman était furieux, pas parceque le blond avait voulu s'échapper mais parcequ'il n'avait pas peur et qu'il défiait Balkman sans pour autant se défendre. Blakman détestait qu'on lui résiste mais là il n'avait même pas le plaisir de briser la volonté de défiance du blond puisque ce dernier se laissait faire. Et puis il y avait la colère d'avoir eu à supporter un gamin pendant deux jours:

"Tu vas baisser tes yeux morveux."

Il commença à le frapper mais pas au visage pour ne pas le tuer, mais le blond ne se démontait pas et continuait à le défié du regard, jamais personne ne lui avait tenu tête de la sorte. Il relacha Edward après l'avoir roué de coups de poings et de pieds, puis il sourit:

"On en trouvera d'autres des mecs qui ont fait des fusées."

Il sortit son revolver:

"Avant je vais t'exploser les dents et ensuite..."

Il leva son poing puis s'arrêta:

"Julius vient la c'est toi qui va lui exploser les dents."

"Pourquoi !? Fais le."

"Depuis que tu as revu ton ancien ami tu sembles être perdu. je veus juste m'assurer que tu fasses bien ton travail, quand on fait ça on ne doit pas s'encombrer de sentiments."

"Je n'en ai plus."

Balkman lui lança le poing américain:

"Alors prouve le."

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward souri en coin. Il espérait bien que Julius le frapperait, avec cela, au moins il serait fixé.

« On peut se dire humain quand on a pas de sentiment ? J’ai été traiter de monstre, mais c’est vous les monstre ! Je suis peut être encore qu’un gamin, mais moi au moins, je sais vivre un minimum et j’ai pas peur de crever ! Au contraire, j’attends que ça ! »

Edward se tenait le ventre, c’était si douloureux, mais il ne montrait pas la douleur. Il c’était battu contre Greed, et les coup de Balkman a côté c’était des caresses.

« Quand au concepteur d’origine des fusé, il est mort. A par moi, personne ne peut décodé nos recherches. Même pas Julius quia les même connaissance que moi, cela lui prendrait toute une vie ! »

Edward avait appris à Alphons de ce monde, a codé tout en langage alchimique, de plus, son propre langage. Seule Edward, pouvais le comprendre, Mustang, lui codait tout avec des noms de femme, en écrivant comme un roman a l’eau de rose, Edward lui aussi avait sa propre façon de faire, et l’avait apprise a son ami. Même Julius, ne pouvais décoder les codes du blond… et pourtant c’était un Alchimiste aguerri.

Edward fixait Julius, droit dans les yeux, et attendait le coup de grâce.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius regarda le poing et le porte clé, il ferma les yeux, mit le porte clé dans sa poche et mis le poing américain, il attrapa le blond et le frappa une fois au ventre puis dans le torse, il le regardait, ses yeux brûlaient de nouveau d'une colère forte. Edward n'était pas bien en point Julius s'arrêta et secoua Edward:

"POURQUOI TU TE DEFENDS PAS ? POURQUOI TU VEUX PLUS VIVRE ??!!"

Puis il revit Edward quand il se serrait contre lui, quand il lui souriait, tous les moments passés avec lui, alors il sortit son revolver lacha Edward qu'il tenait par le col et pointa son revolver sur Balkman:

"Ca suffit si tu ne veux pas de lui alors laisses le partir, on a pas besoin de le tuer, il vas pas nous faire échouer."

"Alors je ne me trompais pas, tu es toujours encombré par des sentiments débiles c'est dommage tu étais un bon équipier, pose ton arme."

Il pointa son arme sur le blond:

"Si tu me tires dessus j'aurais quand même le temps de tirer sur le gamin, tues moi et il meurt."

Julius soupira et lacha son arme:

"On ne ferait qu'attirer l'attention sur nous en le tuant, réfléchit."

"Tu crois ça, ce n'est qu'un gosse, je te laisses 10 secondes pour lui exploser la tête avec ton poing, mais tu devras le tuer à mains nues pour me prouver que je peux te faire confiance."

Balkman commença à compter, Julius ferma les yeux, puis regarda Edward et lui souria tristement:

"Désolé petit."

Il donna un coup de pied dans son revolver qui partit en direction du visage de Balkman, ce dernier le renvoya au sol avec un coup d'vant bras, suffisant pour que Julius se jette sur Balkman:

"Pourquoi tu fais ça ?"

"Tu peux pas comprendre, c'est la seule personne qui m'ait aimé, le seul qui me rendait heureux, qui me faisait comprendre qu'on pouvait vivre sans tuer, le seul qui me sortait de cet enfer dans lequel je suis. Il me considérait comme un homme et non comme une machine à tuer."

Toujours en se battant:

"Et tu as peur d'y replonger, dans cet enfer, c'est pitoyable."

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius sourit:

"Non, j'y suis déjà, si je fais ça c'est pour qu'il puisse vivre. Il m'a toujours bien traité et moi qu'est ce que fait ? Je le trahi. Mais c'est fini, je peux me racheter et je vais le faire."

Balkman essayait de relever sa main avec son revolver, Julius lui faisait pression sur ses bras pour ne pas qu'il le fasse, ils était les yeux dans les yeux à quelques centimètres l'un de lautre:

"Il te détestera quand même après ce que tu as fait, tu n'es qu'un assassin."

"Oui tu as raison, mais je ne demande pas le pardon, je suis un assassin, oui un monstre, c'est pour ça que je ne veux plus le revoir, parcequ'il ne mérite pas d'être avec quelqu'un comme moi, je suis comme toi, je ne sais que tuer, alors je ne veux pas lui gâcher sa vie. Il doit vivre et non connaître la mort chaque jour, il mérite mieux que ça et tant pis si je dois y rester. Je ne veux plus le faire souffrir."

"C'est ridicule !"

Les deux hommes continuairent à se battre, jusqu'à ce qu'un coup de feu retentisse, là Julius recula comme Balkman. Julius se tenait le ventre à droite et du sang coulait il avait reçu une balle à bout portant, Balkman commença alors à partir:

"Tu étais un bon coéquipier, c'est dommage. Je vais laisser ton ami en vie en remerciement, et puis comme ça je pourrais avancer aux services secrets que c'est lui qui t'as tué. Salue bien le diable pour moi."

Puis il partit et disparu au loin, Julius perdait du sang et avait les jambes qui tremblaient, il regarda Edward, puis commença à s'éloigner, mais en revanche il ne pu aller loin, il s'arrêta à une cinquantaines de métres plus loin et cracha du sang, il s'agenouilla ensuite.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Deux pieds apparurent face à Julius, puis une main qui se devinait de métal, se posa sur l’épaule de celui-ci, puis glissa sous le bras, et le releva.

« Il ne pourra pas quitter le pays. »

Il montra les papiers de Balkman, Edward les lui avait fauché.

« Et s’il reviens, je le tuerais. Tu sais Julius, je suis déjà mort, il y as deux ans ^^ je cœur transpercer par Envy^^ »

Il utilisa son manteau et le déchira, il s’en servi pour faire un bandage a Julius. La balle avait traverser, et visiblement, pas toucher les organes vitaux. En faisant marcher son ami, le blond jeta, les papiers voler dans la rivière, ceux-ci coulèrent a pic.

Edward… ne se considérait même plus comme un être humain, pour vivre dans ce monde, lui aussi avait tuer. Comme il avait tué dans son propre monde, même s’il pleurait après, il n’hésitait pas à tuer, pour survivre, ou sauver les gens innocent.

« Tu sais, moi aussi j’ai le mains tacher de sang. Et je n’en suis pas pour autant dénuer de sentiments. Et tu m’a prouver le contraire, même si c’était un peut stupide, de te battre avec lui, finalement tu réfléchie moins que moi ^^ »

Il pinça Julius.

« T’en dort pas, j’aurais pas la force de te porter. Et je ne te laisserais pas ici ! »

A force de marcher, ils finirent par arriver dans un petit village. Edward le conduisit chez le médecin. Et attendit, celui-ci, prit immédiatement Julius pour le soigner, et Edward alla attendre dans la salle d’attente. Il regardait ses mains ganter, tacher de sang, et ses manche blanche, tout aussi tacher de rouge. Le docteur, lui avait dit, qu’il s’occuperait de plus après.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Le docteur revaint presque une après:

"J'ai fait ce que j'ai pu, j'ai retiré la balle mais je ne sais pas si ça suffira, la balle n'a pas touché d'organes vitaux et c'est un miracle mais la blessure s'est infectée, il lui faudrait un hôpital mais malheureusement il n'est pas transportable en l'état."

Puis d'un air plus grave:

"J'ai donné ce qu'il fallait pour lutter contre l'infection mais je ne sais pas si ça sera suffisant, je n'ai pas les moyens qu'ils ont dans les villes, si il passe la nuit je pense que ça devrait être bon, mais la nuit sera diffcile et je ne promets rien, mais je pense que si il passe la nuit c'est qu'il est suffisamment fort pour lutter contre son infection. On verra bien, maintenant ça dépend de lui, je suis désolé...mais il n'est pas sortit d'affaire..."

Puis il prit Edward, il le fit se mettre en caleçon et s'occupa des plaies et des ématomes du jeune homme.

"Vous êtes mal en point, vous devriez vous reposer. Suivez moi, je vais vous amenez la où je mets les patients qui doivent se reposer."

Il amena Edward dans une petite pièce avec seulement deux lits, oui ici c'était la campagne. Il plaça Edward dans le lit.

"Jelave vos affaires et je vous les rend demain matin, reposez vous."

Julius était dans le lit d'à côté, il dormait. La soirée passa, le médecin revenait parfois, l'état de Julius était stationnaire, visiblement il luttait. Mais sur le coup de minuit alors que le médecin était allé se coucher, tout en précisant qu'il fallait l'appeler si il y avait besoin. Mais vers minuit Edward pu entendre un bruit sec, Julius s'était levé pour aller aux toilettes mais en revenant il s'était effondré sur le sol. Il avait beaucoup de fièvre, et même si il ne le montrait pas on le sentait faible et souffrant.

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Edward se leva immédiatement, malgré le fait que tous les muscles de son corps protestèrent. Et il appela le docteur, qui accoura, ils le mirent a deux, dans le lit, et le docteur s’occupa de Julius. Edward lui attendit assit sur son lit que tout se finissent, le docteur, aillant tirer un paravent, puis finalement Il parti, Edward vain alors voir Julius. Frissonnant car il avait froid, il mit sa main gauche sur le front brûlant de l’homme.

« Ne me laisse pas, s’il te plait… ne me laisse pas de nouveau comme mon père. Ne meure pas comme lui s’il te plait. »

Il croisa les bras sur le lit, et mit sa tête dessus. Puis aillant trop froid, il retourna se coucher, et enfoui son visage dans l’oreiller.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

"Ed...Edward... tu pleures ??"

Julius parlait doucement et difficilement:

"Pourquoi, pourquoi tu veux que je reste ? Tu devrais me détester... Mais si je ne veux plus être avec toi c'est parce que je ne faits que détruite et apporter la souffrance... Je ne veux pas te détruire, ni te plonger dans ma souffrance et mon enfer, tu mérites tellement mieux..."

Puis il toussa et repris difficilement, il tendit le bras et attrapa le porte clé sur la table de nuit à côté de son lit:

"Tu vois je l'ai gardé, comme, comme ça, si...si je pars je partirai avec un souvenir de toi... Et puis si je pars c'est mieux pour tout lemonde, je n'ai fait que détruire dans ma vie...si je pars je serai soulagé, je ne ferais plus souffrir personne et surtout je ne te ferais plus souffrir..."

Il s'arrêta à cause de la douleur, il avait très mal et les médicaments n'agiisaient pas encore:

"Mais si je pars, promets moi de vivre comme un garçon de ton age, de mener une vie heureuse avec ceux que tu aimes, tu mérites d'être heureux. Et puis ne t'inquiêtes pas, si je pars c'est mieux, j'ai pas envi de me battre, je vais finir comme j'ai vécu et c'est bien comme ça, au moins je partirais en ayant fait une chose de bien...La mort je la connais bien, elle ne m'effraie pas, masi toi elle devrait te faire peure, car la mort ne fait plus peur quand on est prêt à mourrir, tu dois avoir peur d'elle car tu ne dois pas être prêt à mourrir... tu dois vivre, tu dois vouloir vivre, des gens t'attendent, moi personne ne m'attend..."

Il toussa de nouveau et repris, il avait du mal mais voulait absoulement finir:

"Toi tu peux rendre les gens heureux, tu as un tas de personne à rendre heureuses, vis avec ceux que tu aimes, sois heureux , tu dois me le promettre avant de partir...."

Il s'arrêta, une larme coula de sa joue, une, une seule, mais ça faisait si longtemps, il ne savait même plus qu'il pouvait pleurer, il se tourna difficilement comme pour se cacher et dit sèchement:

"Dors."

Il avait peur qu'Edward le voit comme ça.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Peur, la peur est un sentiment humain. Edward se releva, et monta sur le lit de Julius, comme avant, et se mit sous les draps et se colla a lui.

« T’es glacer… »

Dit il comme excuse.

« Si tu part, je serait triste, je sais, c’est moi qui suis parti la 1ere fois, mais c’est dure de rester, la bas, quand on y est mort… a part mon frère,e t toi, j’ai rien dans ce monde. Est-ce mon enfer ou juste un cauchemar, je ne sais pas… mais tu ne me fais pas souffrir, tu ne m’as jamais fait souffrir. Maintenant part si tu en à envies. Mais moi je continuait a risquer ma vie dans mes expédition, les docteurs appelle ça ;, le syndrome du survivant… »

Il faisait attention a ne pas toucher la blessure de Julius, et se faisait le plus léger possible, prenant garde a ne pas le toucher avec sa jambe, son bras, étant recouvert d’une peau synthétique, cela coupait pas mal le froid quand même.

« Dort… »

Fini t-il simplement a la façon Julius. Mais Edward lui, n'avait pas peur de montrer ses faiblesses, il ferma les yeux, ou les larmes y brillait.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius ne le disait pas, mais il était content qu'Edward soit à côté de lui. Julius était en effet très froid, mais il commençait à se réchauffer, car le blond était contre lui et ça le réchauffé. Au bout de quelques minutes il semblait avoir moins froid et allait un peu mieux, sans doute grâce à Edward qui était une nouvelle fois là pour lui. Il sourit et passa son bras droit autour d'Edward le serrant un peu plus, puis il le regarda:

"Tu parles comme moi maintenant."

Il semblait fatigué mais un peu mieux:

"Idiot, ne pleures pas pour moi...je le mérite pas. Et si tu pleures c'est que tu as mal, à qui tu vas faire croire après que je te fais pas souffrir..."

Puis son sourire s'effaça, Edward étant en caleçon Julius pouvait sentir facilement avec sa main les côtes du garçon:

"Tu as encore maigri depuis la dernière fois non ?"

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward souri.

« On peut pleurer de joie aussi ou juste comme ça par ce que les yeux pique ».

Fit le jeune homme avant de bailler, puis il referma les yeux.

« Mais non je n’ai pas maigri, c’est juste une illusion. Je gagne peut être des clopinettes, mais j’ai assez pour grignoter un peut tout les jours. Et l’université finance mes expéditions… »

Il bailla a nouveau, puis s’endormit simplement, Julius, était réchauffer, donc il pouvais enfin dormir, et puis il le tenais, au moins, il ne se sauvera pas.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius le regarda et sourit, finalement il s'était endormit le premier, il passa sa main dans le chevux du blond:

"Pourquoi tu fais tout ça pour moi ?"

Edward n'allait pas répondre mais ça ne faisait rien. Il voulut alors se tourner un peu s'aperçut qu'Edward le tenait fort bien qu'il dormait, Julius sourit de nouveau.
*Il a pas envie que je parte.*
Il se sentait mieux, avoir Edward comme ça à côté de lui ça lui rappeler le temps où ils faisaient leur chein ensemble. Ils avaient du ensuite se séparer et au final Julius se rendit compte qu'il était très heureux de retrouver Edward.
*C'est vrai qu'il a toujours était mince, je ne m'en souvenais plus...Quoi qu'il en soit, je ne te laisserais plus gagner des clopinettes.*
Puis au final la fatigue l'emporta sur ses pensées et il sombra lui aussi dans le sommeil.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Le lendemain le docteur trouva Edward qui se mettait assit sur son lit. Il lui déposa ses vêtements, et alla voir si Julius allait mieux, bien qu’il dormait, il pus constata, qu’il était sauf. Puis vain s’occuper de changer les pansements de Edward.

« Ça pique… »

Doc : faut être plus courageux mon garçon, votre ami va bien mieux.

« C’est mon père ^^ »

Le docteur, fut surprit, et regarda Julius, puis Edward, puis se dit, que le blond devait être un enfant adopter par cet homme par le passer. Et ne se posa pas plus de question. Puis il reparti, disant qu’il reviendrait plus tard. Edward lui se releva, et s’habilla, mine de rien, le jeune homme était élégants. Pantalon cintrer, chemise blanche, veston marron, et il ne la portait pas, mais veste longue, et chaussure classique, genre mocassin. Il regardait dehors par la fenêtre, le village était plein de vie. C’était le jours du marcher. Il attacha ses cheveux, regardant toujours dehors.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius se réveilla doucement, il se sentait déjà mieux même si ce n'était pas la grande forme. Mais il avait lutter pendant son sommeil, dans son inconscient le fait qu'Edward ne lui en veuille pas et l'aime toujours l'avait aidé à se battre. Edward lui tournait le dos, il regardait à la fenêtre, Julius s'assit dans le lit et sourit en regardant le blond.
*Moi aussi j'ai maintenant quelqu'un qui m'attend.*

"Alors bien dormis ? Tu vois je suis toujours vivant ^^."

Il se leva histoire de tester ses jambes, elles portaient facilement, certes il n'allait pas courrir ou marcher 10 bornes, mais ça allait déjà mieux.

"Tu vas faire quoi aujourd'hui ?"

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Edward se retourna et le regarda. Les mains dans le dos, il s’avança et le fixa, un regard, calme. Un regard adulte.

« Tu va restez ici, le temps de bien te remettre, moi je vais voir, pour gagner la grande ville, et nous prendre des titre de transport, et assurer notre sécurité. Si je veux allez en Amérique du sud, c’est par ce qu’il y as quelque chose a étudier, qui pourrais nous permettre de rentrez chez nous… »

Edward mourais d’envies de savoir pourquoi Julius était la, mais il ne lui ferait pas l’affront, ou la non courtoisie de lui demandez. C’était impolie, si Julius, voulait le lui dire, il lui dirait.

« Je rentrerais ce soir, tard, sûrement. »

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

"D'accord. Mais sois prudent et ne fait pas n'importe quoi."

Julius se leva et fouilla son menteau, il sortit un peu d'argent:

"Tiens ça te paiera le repas du midi et du soir."

Il ne fit en revanche aucun commentaire sur la raison du voyage d'Edward.

"Ne rentre pas trop tard non plus et couvre toi un peu mieux. Et puis ne force pas trop, tu dois être encore fatiguer vu ce qui c'est passé hier. Et puis si tu as un problème revient ici."

Oui Edward avait cette fois-ci un regard d'adulte comme il en avait parfois, mais parfois il avait aussi un regard d'enfant, et il faisait plus jeune que son age. Et puis après tout il n'était plus un enfant, mais n'était pas tout à fait adulte, en tout cas Julius le considérait encore comme un ado même si il savait qu'Edward pouvait bien se débrouiller tout seul.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward, lui souri légèrement, et repoussa l’argent.

« Ne t’en fait pas, j’ai ce qu’il faut, et je me couvrirais ^^ garde cet argent, pour le docteur, on va l’ennuyer encore quelque temps, du moins, celui qu’il faudra, pour que tu aille bien mieux. »

Puis le blond, prit son manteau et l’enfila, il prit ses papier sur lui, et son argent, puis l’écharpe,e t son chapeau. Il referma sa mallette, et la laissa à Julius.

« Je te fait confiance ^^ a ce soir… »

Puis il parti tout simplement. Quelque minute plus tard, le docteur revenait, changer les pansement de Julius.

Doc : un gentil garçon votre fils…

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius fronça les sourcils et eut l'air à la réflexion du docteur:

"Oui...il est très gentil...et pourtant il n'a pas une vie facile."

Puis après un silence:

"Mais qui vous a raconté que c'était mon fils ?"

Cela semblait étrange à Julius, on ne pouvait pas croire qu'ils étaient père et fils de soi même. Et puis Edward ne l'avait jamai appelé papa ou père. Au fond de lui Julius connaissait la réponse, mais il voulait comme une assurance d'où cette question.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Le docteur surprit, le regarda, il réajusta ses petites lunettes rondes, sur son nez un peut ridé, qui faisait penser à une vielle pomme.

Doc : pourquoi vous ne l’être pas ? C’est le petit jeune homme qui me l’a dit. Du coup j’ai pensé que vous l’aviez adopté. Vu que vous êtes… bronzé dirons nous, et lui il est blanc.

Il fini les pansement, et lui donna des cachets.

Doc : il doit en tout cas, beaucoup tenir a vous, car j’en ai vu, des gens qui abandonnait des parents blesser pour survivre.

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