Appartement D'Edward Elric

Edward rentra chez lui. Un petit appartement, de deux pièces, avec une salle de bain. La cuisine était séparée par un paravent du petit salon. Un salon empli d’étagèrent et de livre, qui était d’ailleurs en grande parti sur la table, le canapé, le sol. Il y avait également toute sorte d’objet venant de différant pays visiblement.

Sur un mannequin en bois se trouvait un poncho coloré, avec un grand chapeau de paille. Au plafond, une ampoule, avec un ventilateur, qui ne fonctionnait que si on ouvrait la fenêtre et que l’air le faisait tourner. Le bois était la couleur principale. Les murs blancs, étaient en parti jauni par le temps, le sol, du parquet, assez bien entretenue visiblement. En avançant dans le petit couloir étroit, se trouvait 3 porte, une a droite, une a gauche, et une en face de soit, celle en face, était un placard a balais. Ou des archive y était entasser. A droite, une petite salle de bain, avec une petite baignoire, ou l’on ne pouvait pas s’allonger, un lavabo, et des toilette.

Enfin, la dernière pièce, une chambre a couché a moitié bureau. La encore, des étagèrent,e t un espace de rangement pour document, un bureau assez simple, ou était un porte plus et son encrier, une loupe,e t autre objet divers, dans les tiroir, une arme a feu, et d’autre chose. Mais surtout de la paperasse, et des livres, beaucoup de livre de langue étrangères également, et d’histoire, de légende. A la fenêtre comme dans le salon, des stores en vénitienne. Et une armoire assez grande, ou un miroir se trouvait. Une table de nuit sous la fenêtre, ou l’on trouvait du matériel pour mécanique. Et enfin le lit, simple, contre le mur, à moitié défait, les draps blanc, l’oreiller en vrac contre le polochon. Et la couverture marron, rêche, mais chaude.

C’est la, que le blond se dirigea en premier. Il s’assit à son bureau, et commença à travailler. Et cela jusque tard dans la nuit. Puis il fini par se coucher, se laissant tomber tout habiller sur son lit, et s’endormi, une main dans le vide, tout comme un pied, la chemise sorti du pantalon remontant sur le ventre…

Il n’avait pas verrouillé sa porte d’entrer…

Il regarda Balkman.
*Si il apprend que c'est Edward Elric il va faire le lien avec le travail sur les fusées. Il ne doit pas le savoir où il risque de s'en prendre à lui.*

"Qu'est-ce qu'il y a ?"

"Rien, rien."

Julius se donna une claque mentale. C'était pour ça qu'il ne voulait plus voir Edward ? Par peur de ce que pourrait lui faire Balkman ? Il était redoutable. Mais était-ce la vrai raison ? Dans son métier on ne devait s'attacher à personne, était-ce pour ça qu'il ne voulait plus revoir, la peur de se lier de nouveau avec lui et donc de perdre son efficacité dans les missions ? En voulait-il à Edward d'être partit sans rien dire il y a 3 ans ?
Ou avait-il honte qu'Edward voit ce qu'il était redevenu ? Ou bien tut simplement n'éprouvait-il plus de sentiments pour celui qu'il avait considéré comme son fils ? Peut-être un peu de tout ça.

"Je crois tenir une piste, en travaillant de mon côté aujourd'hui j'ai fait une découverte intéressante, mais je t'espliquerais ça plus tard."

Edward, qui avait commencé à se réveiller, acheva, de le faire, sous la douleur, et en un cri étouffer. La douleur sur sa gorge, le fit frapper le bras, de l’homme de sa main droite. Mais rien a faire, il hoqueta quand il fut plaqué dans le cercueil avec force. Puis n’eu pas le temps de dire « ouf », que le couvercle se refermait. Il cria alors tout ce que sa gorge douloureuse, lui permettait de faire.

Pendant qu’il était déplacé, il frappa sur le bois avec force. Beaucoup de force, aider de son pieds, et de son bras métallique, il explosa le couvercle, et en bondit, il sauta, et frappa a la tête d’un coup de pied circulaire son ravisseur, puis fonça a sa chambre, sauta dans ses chaussure, attrapa et fourra dans sa mallette, ses recherche, et papier important, puis sauta par la fenêtre. Il atterri sur ses pieds, et se sauva en courant dans les rue sombre.

Très tôt le lendemain matin, vers 7 heures le jour n'était pas encore levé un homme entra dans l'appartement d'Edward.
C'était Balkman, il voulait savoir qui était cet ancien ami de Julius, à sa grande surprise la porte n'était pas fermée à clé, il entra et ne trouva personne. Il commença alors à fouiller par-ci par-là, jusqu'à ce qu'il tombe sur des documents concernant des recherches sur la fuséologie. Des recherches et des documents plus qu'intéressants dans le cadre de sa mission.
*Bizarre que Julius ne m'en ait pas parler...*
Edward Elric, des recherches sur les fusées, des documents qui devaient probablement rester secrets où qui n'avaient rien à faire chez un prof d'histoire, autant d'indices qui prouvaient qu'Edward avait ou avait eu une activité autre que celle d'enseignant à l'université. Balkman pris le téléphone de l'appartement et s'en servit pour appeler Julius afin qu'il le rejoigne, il allait attendre là, Edward reviendrait sûrement à un moment donné.

Et Edward revins justement, il entra en silence dans son appartement, il n’avait pas vu l’homme, visiblement il vérifiait autre chose, tenant contre lui sa mallette, complètement écheveler, et fatiguer, le garçon alla dans sa chambre, il posa sa mallette, et chercha sa valise, la il y fourra rapidement, ses vêtements et son matériel pour entretenir son auto-mail. Ses mains tremblaient, nul doute qu’il avait peur de quelque chose.

Dans la poche de sa veste un billet pour Berlin. Le professeur quittait les lieux, visiblement, les documents, sur la fusé ne l’intéressait pas, il se contenta de les ranger correctement dans un tiroir. Puis il entendit un bruit, et se retourna.

« Qui êtes vous ? »

Edward ferma sa mallette d’un coup sec, et la posa a terre, il alla dans son armoire, et prit une chemise propre, et un pantalon propre, il se déshabilla sans gène, et enfila pantalon et chemise, puis mit son gilet, puis ses chaussures, pis prit une brosse a cheveux, et démailla les mèches blonde en bataille.

« Je n’ai rien à vous montré, ce qu’il y a dans ma mallette, n’as rien à voir avec les fusées, d’ailleurs, j’ai laissé tomber mes recherches dessus depuis bien longtemps. »

Le jeune homme noua ses cheveux en queue de cheval.

« De plus qui êtes vous ? Vous vous êtes introduit chez moi par effraction. Et sachée monsieur, que ma mère m’a apprit à ne jamais parler a des inconnu. Surtout quand il ne se présente pas et ne salut pas. Mais comme je n’ai rien à cacher. »

Il prit sa mallette et l’ouvris simplement.

« Allez-y, regardez donc, ce sont des recherche sur les Indigène d’Amérique du sud pour mes cours. Rien de plus. »

Edward eu mal a son postérieur, quand il fut assit avec attend de violence. Mais il ne dit rien, et fixa Balkman avec un regard mauvais, puis ses yeux se portèrent vers Julius, Edward se sentait…Trahi. Son nez le piquait même, mais il ne pleurerait pas comme un enfant.

« Finalement vous aviez raison, vous n’êtes pas celui que je considérait comme un ami, et un père, lui, n’aurais laisser personne me faire du mal ! »

Il regarda a nouveau l’autre montagne de muscles

« Le projet, je ne sais rien de plus que ses début ! Je l’ai abandonner quand j’ai comprit qu’il ne me serait pas utile, les fusé, c’est pour faire voyager les gens dans l’espace c’est tout ! Une organisation nommé Tullé, se l’est accaparer pour avoir la puissance nécessaire a leur avions pour aller détruire un pays, ils on échouer, et tout a été abandonner. »

Edward regarda Julius, pour lui faire comprendre, que ce pays, était Central, chez eux tout simplement, et que s’ils n’avait pas réussi, c’était bien a cause de son tallent pour se foutre dans la merde.

« Vous savez, tout, je garde les document, à la mémoire de leur concepteur qui est mort. Je ne revendrais les droits qu’à des personnes dignes de confiance. Maintenant laissez moi, j’ai un train à prendre, puis un autre, puis un bateau pour l’Amérique du sud ! »

Il se doutait qu’ils voudraient sûrement le suivre, donc, autant leur dire, il pourrait tenir profit de leur présence. Surtout depuis que Ed ne pouvait plus utiliser l’alchimie, il avait le goût amer de la faiblesse dans la bouche.

Edward, sembla attrister, il regarda Julius.

« S’il ne veux pas de moi, cela ne servirait a rien que je vienne. De plus, je dois absolument me rendre en Amérique du sud. Mais je crois savoir que quelqu’un la bas, fait aussi des recherche sur les fusé. Et l’argent ne m’intéresse pas, je veux juste retrouver celui que j’aime comme un père c’est tout, mais il semble, lui aussi m’abandonner. »

Il s’embla réfléchir, et sorti un dossier.

« Je peut finir ces recherche la, si vous voulez, si j’ai la garanti de vos patrons que cela ne sera pas utiliser pour faire du mal a quiconque, et puis je voudrais revoir mon frère au passage qui vie en Amérique ^^ »

Edward était plus sage qu’avant, cela sans aucune doute, il savait tirer profit de ce qui lui arrivait.

«Je veux aussi la garanti complète de vos service en protection, un malade essaie de me tuer ! Il m’a enfermer dans un cercueil cette nuit, et j’ai réussi m’enfuir ! »

Il frissonna à ce souvenir.

Edward soupira et alla fermer sa valise.

« Mon train, va a paris, et il est dans 30 minutes. Il ne vaudrait mieux pas tarder, pour vous prendre des billet »

Le blond, alla chercher tout ces papiers sur les fusés, les calepins et autre, puis les mit dans sa mallette. Puis il prit sa valise et sa mallette, et se rendit dans le petit salon. Il les reposa, et prit manteau et chapeau.

Il les reprit, et alla à la porte.

« Bon, vous traînez messieurs ! »

Et il ouvrit la porte.

Les deux hommes le suivirent:

"Ce n'est pas une bonne idée."

Chuchotta Julius à Balkman:

"Bien sur que si, il en sait beaucoup sur ce sujet, avec lui notre mission est terminée."

*Il a changé.*
Se disait Julius, c'est vrai que l'ado qu'il avait connu n'aurait pas réagit de la sorte. Balkman suivait le blond de près, il posa sa main sur l'épaule gauche du blond:

"Tu vas faire du bon travail j'en suis sur."

Puis il retira sa main.

(la suite a la gare ^^)