Retour

De retour au manoir Edward traîna difficilement Julius jusqu'à la porte, là il se fit aussitôt aider par le majordome qui monta avec Edward et Julius pour l'installer sur son lit. Le majordome redescendit en vitesse chercher de quoi stopper l'hémoragie laissant donc un instant Julius et Edward seuls. Julius à demi-conscient regarda le petit blond:

"Pourquoi, pourquoi tu fais... tu fais ça blondinet, je croyais que tu voulais me voir mort..."

Il avait pas mal de difficulté à parler et sembler bien affaibli.

Edward s’assit, se tenant le bras ou le bleu était noir avec des contours bleus.

« Pourquoi ? Je me le demande moi-même… »

Murmura le garçon en regardant ses pieds, soudainement très intéressant. Après tout, il aurais pus le laissez mourir, dans le caniveau, mais la réponse était toute simple, Edward n’était pas comme ça. Jamais il ne laisserais quelqu’un mourir bêtement, ennemi ou allier, il les aiderais pour a se remettrent. Il détestait voir les gens souffrir, sauf cet enfoiré de Envy.

« Je t’aide par ce que j’ai besoin de toi pour me protéger, et tu a besoin de moi pour la porte, donc le principe de l’équivalence agi ici aussi. De plus, c’est moi qui te tuerait chez nous avec l’alchimie ou sans je m’en fiche ! mais finalement, je ne veux pas être ton ennemie, je ne peut pas me battre contre quelqu'un que je respect »

Il grogna un peu:

"Conneries... L'échange équivalent c'est de la connerie, ça s'applique à l'alchimie mais pas au reste et comme ici il n'y a pas d'alchimie il n'y a donc pas d'échanges équivalents ici, en plus tu dis que tu me respectes, je vois par pourquoi, au vue de comment je te traite et de ce que je suis je ne vois pas comment on peut me respecter surtout toi... expliques moi ça."

Edward se leva et s’approcha de lui, puis s’assit sur le lit, ne le regardant pas, tenant son bras meurtri.

« Tu es fort…. »

Il ne dit que cela, comme si cela voulait tout dire. De plus respecter quelqu’un ne voulait pas dire l’aimer. Il le respectait par sa force et sa détermination. Et rien d’autre. Le reste il n’appréciait rien en cet homme.

Edward se poussa quand Patrick revins, et entreprit de soigner Julius, dans un silence religieux, puis quand il eu fini, il donna a Edward une serviette imbiber d’alcool, puis lui enserra avec de la ficelle pour que cela désenfle. Et reparti.

Il resta un long moment sans rien dire:

"Fort... peut être. Mais pas assez...pas assez pour vaincre Balkman, mais surtout pas assez pour me relever comme toi. Tu as perdu des gens que tu aimes comme moi, sauf que toi tu t'en es relevé, tu continues à vivre, à aimer et à être aimer, mais moi..., j'ai oublié ce qu'était la vie, l'amitié, l'amour, je ne suis pas mort mais j'ai cessé de vivre il y a un moment. C'est pour ça que je ne t'aime pas mais c'est aussi pour ça que je te protège. Certes j'ai besoin de toi mais je te protège aussi pour ne pas que tu meurs. Tu as réussi la où j'ai échoué, tu t'es relevé de toutes tes souffrances et tu vie, tu représentes ce rêve que je n'ai jamais atteint et auquel j'ai renoncé depuis un moment, recommencé à vivre après de grandes douleurs. Tu représentes mon rêve si tu meurs, mon rêve s'éteint..., je t'envie Edward, j'aimerai revivre au mois une journée pour voir ce que la vie offre de bon et non ce qu'elle a de mauvais, j'aimerai retrouvé le bonheur que je connaissais avant, bref faire ce que toi tu fais, j'aimerai le faire ne serait ce qu'une dernière fois..."

Sa voix était posée, mais son regard sembler se perdre, il regardait Edward qui pû remarquer que pour une fois qu'il n'avait pas de méchanceté dedans.

Edward se releva et marcha dans la pièce, puis un sourire sadique vain éclairer son visage, il avais une idée. Il ricana dans son coin et se rapprocha de lui.

« Ton vœux sera exaucé, et je m’y engage ! tu va revivre, on va commencer par… heu te relooké, on fera ça quand tu sera guéri, avec un peut de volonté, tout le monde se remet de ces blessure, tu ‘la fait a ta façon, mais commence par sourire, et être plus aimable, se sera un bon début. »

Il alla dans sa chambre et revint, il s’installa par terre, et ouvrit un livre qu’il commença a a lire.

« En ce qui concerne mes calculs sur la porte, elle peut être n’importe ou, ici elle s’ouvre a partir de la « magie » dirons nous, mais surtout par des composer chimique je ne n’ai pas tous identifier, qui son lier au corps humains, plus en rapport avec l’électricité et de la masse de l’individu, enfin ce ne sont que des théorie, dort, je ne t’embête plus avec cela. »

En gros, ce que racontait Edward, était très peut compréhensible pour le commun des mortel de ce monde d’on faisait sûrement parti Julius, qui devais tout de même comprendre quelque petite choses.

Il souffla, il comprenait en effet certaines choses mais ça le gonflait vite fait tous ces trucs de scientifique.
"J'ai pas envi de dormir."

Il se leva non sans mal et alla prendre le journal sur la table de nuit, il se rallongea et commença à lire.

"Ne fais pas de promesses que tu ne peux pas tenir..."

Il faisait allusion à l'engagement d'Edward.

"Au fait ton bras c'est étonnant qu'il ne soit pas casser, t'es résistant pour un ptit mégrichon.

Edward avait frissonner, tout le temps debout, et l’eau froide, lui avait donner la chaire de poule, et la pommade avait commencer a soulager, bien qu’elle sentait mauvais.

« Elle Shniouf votre crème, pire que celle de mamie Pinako… »

Fit le jeune homme, en effet, son bras n’était pas casser et cela était un vrai miracle.

« Comment va Elise ? Je n’ai pas eu le temps de voir si elle allait bien, elle n’a pas été blessé au moins ? »

Edward considérait al ‘instant qu’il avait eu trois père dans sa vie. Non plutôt quatre père. Son père génital, d’on il se serais bien passer, mais qui maintenant lui manque terriblement. Le maris de son maître Izumi, donc monsieur Curtis, Mae Hughe, bien qu’il ai été un peut jeune, et maintenant patrick. Edward lui souri, avant de se rassoire, mais dans un fauteuil cette fois.

« Merci de vos soins »

"C'est nouveau ça depuis quand les gens s'inquîétent pour ceux qu'ils ne connaissent, qu'est ce que vous foutre que je fasse attention ? Et puis vous parlez comme si Balkman était mort, mais croyez moi il en faut bien plus pour le tuer, il reviendra sûrement."

Il regarda ensuite Edward, certes il n'était pas gros mais il avait des muscles biens dessinés ce qui voulait dire qu'il s'entraînait régulièrement:

"Pourquoi tu t'entraînes gamin ?"

Edward cligna des yeux.

« Je ne m’entraîne pas, je suis comme cela naturellement c’est tout. Et je fait un peut de sport pour me tenir en forme c’est tout, pourquoi cette question ? »

Dit le garçon en regardant Patrick demandant un soutien, même s’il se connaissaient de puis peut, le jeune blond avait vite comprit qu’il pouvait avoir un soutien et un peut de protection de la pare de l’homme.

"C'est ça un peu de sport, c'est par curiosité."

Julius restait persuader qu'il s'entraînait régulièrement, en fait sa performane contre Balkman bien qu'insuffisante pour le battre avait été plutôt impressionante Julius voulait donc savoir d'où lui venait cette capacité à se battre.

"Tu racontes des conneries, ça se voit que tu t'entraînes, que ce soit ton corps, où la façon dont tu bouges quand tu te bats, ta technique, tout ça prouve que tu sais te battre donc que tu t'entraînes. Tu me prends pour un idiot ma parole, et ça ça m'énerve tu devrais arrêter de prendre les autres pour des imbèciles."

Edward souri et ferma son livre.

« Je m’entraîne de temps en temps, donc je fais du sport pour me tenir en forme, j’ai été militaire je te rappelle, et chez nous, je le suis toujours, je reste un alchimiste d’état mon cher. Dep lus je m’entraîne car pour avoir un esprit saint, un faut un corps saint tout simplement. »

Fini le jeune homme en s’étirant, puis il croisa les jambes, toujours assit, et rouvrit son livre pour reprendre sa lecture. Finalement il aimais bien la compagnie de Julius, cela lui rappelait les chicane qu’il avait avec le Colonel Mustang, quand il était gamin.

"T'en ventes pas trop, y a pas de quoi être fier quand on est un toutou de l'armée, tu sais ce que je pense de ça. Quant à ta belle phrase comment veux tu avoir un corps saint avec des mécagreffes, t'as bousillé ton corps en commettant l'impardonnable, comment as tu peux faure ça, je ne comprend toujours pas une telle bêtise. Mais je dois avouer une chose, tu n'es pas aussi lâche que je pensais, c'est toujours ça, cependant ne va as croire que si tu te bats de nouveau contre lui tu gagneras, c'est un miracle que tu sois encore là, maintenant qu'il sait ce que tu veux il se battra à fond, et j'ai bien peur qu'il ne t'écrase en un rien de temps, donc ne l'affronte jamais en combat direct. Quant à la fille laisses la tomber, elle nous a handicapé c'est tout."

Edward fini par se lever, et mit ses mains sur le bras de patrick.

« Cela ne sers a rien de s’énerver pour si peut. »

Edward avait vite après a cerné l’homme, même s’il était calme en apparence, ses yeux le trahissait. Il le fit alors sortir.

« Vous pouvez m’amener un Chocolat chaud s’il vous plait ? »

Fit le blond en souriant, puis il retourna dans la chambre en se détachant les cheveux, puis il se rassit sur le lit, et els rattacha correctement.


« Ne lui parlez plus comme vous le faites je vous prit monsieur Julius…. »

"Toi tu la fermes, je vous ai rien demandé, pour qui vous vous prenez. Incroyable le nombre de conneries que vous débitez à vous deux. Je parle à qui je veux comme je veux t'as pas à me dicter ma conduite."

Il prit son pistolet posé près du lit, s'assoit et le col contre la nuque du jeune homme.

"Un jour tu vas me pousser à boût, et ça se finira mal pour toi, ça vaut aussi pour le vieux, t'as bien compris."

Il se ralongea et reposa son arme, il détestait qu'on lui dise ce qu'il avait faire surtout lorsque cela venait d'Edward.

Edward ne broncha pas sous la menace de l’arme, bien que Julius lui fasse peur, par la suite il préféra s’éloigner, il se mit dans un des fauteuil de la chambre, et remonta ses genoux contre son torse, se callant bien, le chocolat chaud entre les mains.

« Merci Patrick…»

Edward ne dit rien a la remarque, il n’était plus un enfant, donc a son age, il faisait ce qu’il voulait d’ailleurs, il avait l’impression d’être encore un gosse, avec Patrick qui le maternait et Julius qui lui donnait des ordres et lui parlait mal. Il soupira et but un peut du liquide chaud. Puis il reposa la tasse finie, et noua ses bras autour de ses genoux.

« Pourquoi vous passer votre temps à vouloir effrayer les autre ou moi ? Je ne vous comprend pas Julius…. »

Sa voix s’éteignait doucement et le blond s’endormit dans cette position inconfortable, dans le fauteuil.

Julius commença à répondre puis regarda le blond s'endormir, il lui avait posé une question et n'écoutait même pas la réponse, il jugea ça come un manque de respect, il prit sa tasse encore pleine et la jeta sur le blond et dit avec rage:

"T'as fini de te foutre de ma gueule, pour qui tu me prends, et toi le grand père je t'es pas sonner, j'ai pas besoin d'être materner, je suis pas Edward."

Il ne supportait pas d'être affaibli et ça le mettait à crans, il reportait sa frustration sur les deux personnes avec lui.

Edward réveiller en sursaut, se leva et parti le pas raide, prit en faute, il n’avait pas fait expert de s’endormir, et il parlait plus pour lui-même que pour Julius.

En tout cas le résulta fut le même, le garçon parti en hoquetant, était-il blesser a ce point par cet homme ? Comment faisait-il pour le faire pleurer et le pousser a cran, les nerfs a fleure de peau ouis cet homme devait avoir un don pour faire pleurer le blond alors que personne n’y arrivait. Aussi il regagna sa chambre.

"C'est ça dégage de là enfoiré."

Il était d'une méchanceté rare depuis le retour au manoir, il ne supportait toujours pas le fait d'avoir était battu et de devoir protèger Edward, le blond partit en commençant à pleurer, ce qui arracha un soupir de dépit à Julius, Edward, il ne le comprenait absolument pas, en aucun points et pourtant il l'enviait, ils avaient des points communs de part leurs passés à tous les deux, mais ils avaient réagi tellement différemment l'un de l'autre. Encore une fois il ne comprenait pas pourquoi Edward pleurait, Julius le mettait souvant sur les nerfs, parfois sans le vouloir, mais toujours Edward restait correct, il ravalait ses rencoeurs et restait calme seules ses larmes le trahissaient, il était sensible Julius ne l'était pas, Edward encaissait, Julius lui laissait glisser mais au final Edward était tellement plus humain que Julius et c'est peut être ça qui poussait Julius à agir de la sorte. Pour se protéger des autres Julius avait depuis longtemps adopté un comportement agressif, les autres et en particulier les gens comme Edward qui étaient la preuve que Julius n'avait pas emprunté la bonne voie et ça il ne l'acceptait pas. Il demanda au majordome de sortir, ou plutôt il lui ordnna. Et c'est en ressassant comme souvant des idées et des souvenirs sombres qu'il s'endormit.