Coursses poursuite dans les rue de Londres

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward avait réussi grâce a l’alchimie a éliminer la drogue dans son organisme qui devait le faire dormir. Il c’était alors lever, retirer la perfusion, il embrassa son petit ami sur le front, et parti en courant. Evité les infirmerie ne fut pas facile, surtout qu’il n’avais pas eu le temps de se changer.

Au détour d’un couloir il le vis ! grand massif, élégant, mais inquiétant, Balkman… Alors le garçon alla pour faire demi tour, l’infirmière qui lui avait fait l’injection arrivait, discutant avec une collègue, il ouvrit une porte, et se glissa dedans, un placard a ballait.

Bof, mieux que rien. Il s’acroupi dans un coin et attendit. L’homme finirait bien par partire, et les infirmière aussi.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Balkman malheureusement ne partait pas, ce qui était d'avantage embêtant c'est qu'il avait surpris la discussion des infirmières qui parlait d'un jeune homme blond particulièrement difficile à soigner et dans leur discussion elles citérent le nom de la chambre. Balkman se doutait alors qu'elles parlaient du blond, aussi se dririgea-t-il vers la chambre du blond, Une fois dedans il y trouverait un homme endormit, pas Edward mais il ne fallait pas beaucoup d'imagination pour deviner le sort que Balkman réserverait à Mustang si il tombait dessus. Il serait prêt à tout pour obtenir des informations, Roy était en donc d'autant plus en danger que le blond n'était plus dans la chambre.
Balkman s'en approchait rapidement.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Mais le blond avait du sentire le danger pour son amant. Et il avait fini par quitter sa cachette, et retourné a sa chambre. Il arriva derrière Balkman qui s’approchait de Roy, ni une ni deux, le garçon lui sauta sur le dos, faisant sauter quelque point de soutur au passage, et laissant du sang couler sur la veste de l’homme.

« Ne le touche pas sale brute !!!! »

Il fini par retomber, et a quatre patte, alla sonner la sonnette pour que les infirmières arrivé. Qui arrivèrent intrigué, car le garçon était sensé dormir profondément. A peine arrivé, que l’une d’elle parti en courant prévenir la sécurité. L’autre ressemblait a une armoire a glace.

I : Monsieur ! veuillez partir vous déranger les malade ! et ce garçon a besoin de repos !

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Edward intervint juste à temps. Balman fût surpris, il ne pensait pas que le blond hospitalisé était capable de se remuer comme ça, mais ça ne dura pas, Edward trop fatigué s'écroula quasi seul Balkman ayant juste fait une rotation assez forte de son buste. Il arriva tout de même à sonner les infirmières, l'une d'elle s'adressa d'ailleurs au géant.

"Inutile de vous déranger je m'en vais."

A ces mots il prit Edward sous le bras, le bras autour du milieu du dos, en haut des abdos du blonds en fait, il serrait à tel point que le blond devait avoir du mal à respirer, comme un étau il l'avait coincer entre son avant bras et son corps et commença à partir, en peu de temps il fût à la sortie de l'hôpital.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

En faites il fut tout de même arrêter par les vigile. Il faut dire que le blond avait hurler ! c’était débattu, et laissant des trace de sang sur le sol, avait pourtant fini par perdre connaissances.

Les homme assez grand, baraqué aussi, et armé, le visait.

V1 : Lâchez ce garçon immédiatement !!!

Les infirmières, elle attendait pour pouvoir ramener le blond en sécurité. Beaucoup de gens regardait, malade, visiteur, employer.

V2 : on a prévenue la police que vous étiez en train de tentez d’enlever un malade !!! de plus il perd du sang ! il a besoin de soins ! posé le a terre immédiatement !!

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Balkman souffla:

"Pourquoi toujours compliqué les choses..."

Aussi il balança Edward sur les vigiles, puis avec une vitesse ahurissante il sortit un revolver d'assez gros calibre, il tira rapidement sur les vigiles, sa dextérité avec une arme était bien supérieure à la moyenne. Quelques instants plus tard les deux vigiles s'écroulaient avec une balle dans la tête de chacun, même si Balkman n'était pas censé tuer comme ça il ne respectait que rarement les consignes mais comme il remplissait toujours ses missions personne ne lui reprochait vriament ses manières.
Il ramassa le blond à terre et sortit tranquillement, ceux qui avaient assisté à la scène s'étaient tous plus ou moins réfugié derière quelque chose pour se protéger.
Dehors une voiture puissante pour l'époque attendait Balkman, il monta et elle démarra en trombe, elle roula un bon moment avant d'arriver dans un endroit assez reculer dela banlieue pauvre de Londres, là-bas vivaient les ouvrires les plus pauvres et les sans abris, et les forces de l'ordre ne s'aventuraient jamais là-bas, c'est pour ça que Balkman avait choisit cette endroit.
Dans un immeuble à l'abandon occupé seulement par quelques clochards sur le rez de chaussée et le 1er étage Balkman s'installa.
Il payait de temps à autre les sans abris de l'immeuble et leur apporter à boire parfis, et comme ces derniers ne posaient pas de question ils avaient pris Balkman en sympathie. Balkman s'était installé la depuis 2 semaines déjà, il n'avait jamais était dérangé.
Le centre-villes de Londres était à presque trois quart d'heure de voiture d'ici. Balkman avait donné aux sans-abris quelques cigares et quelques bouteilles pour qu'ils ne le questionnent pas sur l'arrivée du blond blessé aussi ceux-ci n'avaient rien cherché à savoir.
Balkman s'installa dans un petit appartement de trois pièces: salle de bain toilettes, une chambre et une cuisine sallon. Le totu était dellabré, plus rien ou presque ne marchait, l'eau était courante mais jamais chauffée car il n'y avait pas de quoi la chauffé, l'électricité arrivait par accoup et ne marché que la moitié du temps.
Balkman balança le blond sur un lit défoncé et s'intalla sur un fauteuil en un peu meilleur état, il s'alluma un cigare en attendant que le blond se réveille.
Tout ça sous le regard d'un chat noir comme le charbon qui par l'escalier de secours s'était assis sur le rebord de la fenêtre en dégustant un rat. A la fenêtre on pouvait oir des immeubles pas tous abandonnés mais toujours délabrés, beaucoup de sans abris avec des feux improvisés sur le trottoir pour se chauffer, le quartier était sale, insallubre, à l'époque ces quartiers de Londres (et d'Angleterre) était les plus pauvres d'Europe et on y vivait très mal. D'ailleurs un blessé avait peu de chance de survivre dans ces conditions d'inconfort et d'hygiène déplorable mais Balkman s'en était rendu compte Edward était résistant, et puis si beoin est il pouvait le soigner un peu. Mais au moins il savait que le blond n'irait pas loin dans son état et dans un tel endroit.
Balkman aimait le luxe mais quand il était en mission et que cela l'exigeait il était prêt à aller dans les pires taudis.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward souffrait, mais inconscient il ne le montra pas. Du mois avant un certain temps. Se mettant sur le dos, il entrouvris des yeux fiévreux.

« Papa… »

Dit il faiblement appelant inconsciemment Julius. Puis il re sombra dans les ténèbres aussitôt, il était frigorifier, ses lèvres était bleu, sa peau trop blanche, et il gémissait en tremblant, son corps se contractant pour se réchauffer le plus possible. Il ne faisait aucun doute que aussi résistant qu’il soit, dans son état il ne survivrais pas dans de tel condition.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Il faut dire que le pyjama qu'il avait sur le dos (celui de l'hôpital) était léger.
Aussi Balkman remarqua que le blond ne passerait as la uit comme ça. Il n'avait pas le choix il fallait bouger. Balkman s'absenta alors laissant Edward à la garde d'un de ses hommes de main. Il revaint deux heures plus tard alors que le froid et la nuit commençaient à poindre.
Balkman expliqua la situation à son coéquipier, une des planques que le gouvernement américain avait dans Londres venait de se libérer.
Le gouvernement américain mettait en effet à disposition de splanques pour ses agents, il y en avait beaucoup à Londres. Celle qui venait de se libérer était en bordure du centre-ville de Londres. C'était une banque américaine dont le dernier étage fermer à tous visiteurs comme employés étaient réservé pour des agents du gouvernement, la banque servant de couverture. Le quartier était assez fréquenté et bien coté.
L'appartement était d'une taille respectable et surtout confortable. Balkman s'y installant crosant au passage en coup de vent un agent du gouvernement américain qui rentrait au pays car sa mission était accomplie.
Balkman entra par la porte arrière de la banque dans la cours intérieure interdite aux visiteurs. La les gardes lui demandèent des papiers il en présenta comme quoi il était agent fédéral, les gardes qui travaillaient pour l'embassade américaine le laissairent passer. Une fois dans l'appartement il enleva le haut de pyjama d'Edward, en effet après avoir été dans ce lit crasseux le contact des vêtements sales avec les plaies ce n'était pas génial.
Il balança à la poubelle le haut de pyjama, il couvra ensuite Edward d'une bonne couverture. L'appartement était à température agréable. Balkman lui alla se faire à manger attendant un éventuel réveil du blond. Il était 21 heures.

Julius quant à lui avait appris en se rendant à l'hôpital ce qui s'était passé, aussi avait il commencé des recherches mais recherché un jeune homme dans une ville aussi grande et peuplée que Londres ce n'était pas simple.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward lui rêvait, rêvait de son passé, et parlait en dormant, semblant, récité quelque chose, des composant. Des composant qui associer était ceux du corps humains. Fiévreux, délirant, il poussa des sons, des cris retenue comme s’il ne voulais pas que l’on vois sa souffrance. Il appela sa mère, puis son frère, son petit frère. Des gens que Balkman ne connaissait pas. Mustang passa dans le tas, enfin, il l’insultait, puis après disait qu’il l’aimais, gros fouillis. Il parla en dernier de Julius l’appelant Papa…

Mais le garçon ne se réveilla pas, restant en proie a ses cauchemars toute la nuit. Ce n’est que vers 11 heure du matin qu’il émergea, brûlant de fièvre, crevant de chaud, aillant mal, il sorti un bras de la couverture, celui de chair cherchant de la chaleur, les yeux a demi ouvert, des cerne sur le dessous. Crever quoi. Il regarda autour de lui sans vraiment voir. Enfin il remarqua Balkman et se mit a pouffer de rire, un fou rire incontrôlable comme s’il perdait la raison, mais ne dit on pas que les scientifiques son de toute façon fou ?

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

La nuit se passa tranquillement si l'on excepté les bruits incessants du garçon. Cependant une chose attira l'attention de Balkman, Edwar avait appelé père un Julius.
Et Balkman avait été trahi par Julius Johnson lorsqu'il s'en était prit à Edward, ses doutes étaient maintenant levés, Edward et Julius avaient un lien fort. Cette perspective fit sourire Balkman, il pourrait surement se servir de Julius pour arriver à ses fins avec Edward et vice et versa.
Le matin il se leva vers 9h, tout se passait bien jusqu'à ce qu'Edward se réveille et rit en le voyant. Son rire ne s'arrêtait pas, aussi Balkman alla tatait le front du blond qui était brûlant, il était vraiment mal en point et délirait surement.
Aussi pour que cela cesse Balkman donna un calmant au blond et en profita pour le soigner, il avait toujours sur lui de quoi soigner, dans sn métier s'téait indispensable. Il administra donc des soins assez efficaces à edward et attendit que ceux-ci fassent effet. Balkman savait soigner même si d'ordinaire il ne soignait pas les autres.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward était calmer, mais restait entre l’éveille et le sommeil, parfois un ricanement s’échappait de ses lèvres, mais il produisait un son cassé, comme un vieux disque rayer qui repasse constamment la même note. C’était très pénible, mais il n’était pas une machine donc impossible de l’arrêter.

Le jeune homme semblait être dans un autre monde. il se recroquevilla sur lui même. le regard vide il parlait parfois. Comme s’il discutait avec quelqu’un d’invisible.

« T’es revenu… que va tu me prendre ?… mon cœur ? mon âme ? ma raison… »

La raison semblait l’avoir déjà quitté. Dans son délire il voyait la vérité, comme quand il avait fait la transmutation. D’ailleurs il ne portait plus le pendentif, il avait été remit a Julius a l’admission a l’hôpital du garçon.

Puis le garçon récitait des formule scientifique, du moins cela y ressemblait, c’était les formule de son monde.

« Je suis alchimiste d’état… je suis… rien… »

Il délirait complètement, murmurait, parlait, parfois s’agitait. Et a un moment il se leva même ; se mettant face a Balkman le fixant sans bouger, sans parler, les yeux fixe.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Le blond continuait à délirer, clairement quelque chose n'allait plus chez lui. Mais que faire, dans cet état il ne ervait plus à rien. Tout à coup alors Balkman cherchait une solution Edward se mit debout devant lui sans rien dire.
Balkman observa le blond quui ne bougeait pas.

"Qu'est-ce qu tu veux, t'es enfin calme ?"

Mais aucune réponse, Edward restait la comme ça. Balkman alors pointa son revolver vers le blond, autant s'en débarrasser puisqu'il était devenu un boulet. Mais finalement il se ravisa. Edward ne réagissait plus, alors il fallait trouver un moyen pour le faire réagir. Ce moyen c'était Johnson, Balkman devait le retrouvr et la Edward réagirait sûrement. Aussi il prit Edward d'autorité et le traina jusqu'à sa voiture, la il demanda à son équipier de démarrer.

"On va retrouver ton père."

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward sembla légèrement tilté a l’annonce, et il le regarda, puis se laissa traîner dans la voiture, il serra autour de lui ses bras, il est clair que être juste en pantalon de pyjama cela n’aidait pas.

Il regardait les rue défiler, les agents de la circulation faisait leur travail, donc parfois ils ‘arrêtait. Le blond regardait toujours dehors, puis vis des enfant qui tentait de faire décoller une fusé de papier.

« Y arriverons pas, le fuselage n’est pas bon… et les composant non plus. »

En effet, la fusé avait prit feu, et un seau d’eau fut verser dessus. Edward était dans un autre monde, mais sa logique était toujours la, et se manifestait.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Cette réflexion anodine comme ça était mine de rien très importante, elle prouvait que le garçon connaissait bien les fusées et que Balkman avait eu raison de le poursuivre pour qu'il construise des fusées às on gouvernement.
Ils trounèrent un moment mais toujours pas de Julius, mais pas question de rentrer avant de l'avoir retrouver:

"Pourquoi tu résistes si tu acceptais de nous aider à faire ces fusées tout se passerait tellement mieux."

Balkman attendait une réponse du blond en se doutant qu'il dirait sûrement n'importe quoi comme toujours depuis qu'il n'était plus à l'hôpital.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Le blond regardait dehors, il ne répondit pas. Il cherchait sans vraiment chercher.

« Avec mon père on a dit que l’on partait pour l’Amérique bientôt. On a dit que j’aurais du travail la bas. On y va avec Roy aussi normalement… »

Il parlait plus comme un enfant qui racontait sa journée, ailleurs et présent a la fois, cela faisait peur dans un sens, surtout qu’il était toujours brûlant de fièvre.

Fatigué, il ferma les yeux, sa main crisper sur son cœur, il était blanc comme un cachet d’aspirine.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Les soins de Balkman n'avait pas fait effet longtemps et l'état du blond était plus grave que ce que Balkman pensait, aussi il prit les devants:

"Si tu acceptes ici et maintenant de travailler pour nous je te redéposes à l'hôpital pendant que j'irai chercher ton père."

*Sinon tant pis je le laisserai aux mains de l'autre fou.*

Londres était grand et chercher un homme seul était difficile, qui sait si ça trouve ils s'étaient peut-être même coiser avec Johnson sans s'en rendre compte.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward le regarda, puis commença a ricaner, puis a rire franchement, comme un dément. Visiblement c’était la chose la plus drôle que Balkman semblait lui avoir dites.

« Pourquoi….Pourquoi je vous le promettrait… alors que je l’ai…déjà promit a papa ? »

réussit il a dire entre deux rire. Et c’était vrai, pour que Julius ne soit pas reconnu traître, Edward lui avait dit qu’ils irait, et qu’il acceptait, mais a certaine condition, alors Julius avait contacter ses supérieur pour l’avertire, de son prochain retour avec le jeune homme qui acceptait. Il est vrai que Si Balkman avait eu des contacte avec ses supérieurs, il aurais été mit au courant.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Mais Balkman n'avait pas prit contact avec ses supérieurs depuis longtemps, il était dans les mieux placé et détesté recevoir des ordres des rares persnnes au-dessus de lui, il entrait donc le moins possible en contact avec sa hiérarchie, mais la ça lui avait joué des tours apparemment il avit perdu son temps.

"Très bien si c'est comme ça on part maintenant."

Il demanda au conducteur de prendre la direction du port de Londres, il trouverait bien vu ses moyens un paquebot avec à l'intérieur de quoi s'occuper du blond. Aussi une demi-heure après ça ils arrivèrent au port, la Balkman laissa Edward sous la surveillance du conducteur, il revaint environ une heure après. Il avait trouvé un paquebot de luxe qui traverserait l'Atlantique pour New York, il partait demain à la première heure, Balkman expliqua tout ça à Edward et au chauffeur, aussi deux heures après ils se retrouvaient dans le paquebot, il était presque minuit, Balkman obtaint quand même qu'un médecin de bord vienne s'occuper du blond qui fût transféré dans l'infirmerie du bâteau. Sur le coup de 2 heures le médecin vaint trouver Balkman:

"On le soigne, il devrait être sur pied et en forme avant l'arrivée à New-York donc d'ici une petite semaine vu que la traversé va durée une dizaine de jours."

"Le départ et dans 6 heures c'est ça ?"

"Oui."

Le médecin partit se coucher disant qu'il ne fallait pas hésiter à le trouver si besoin était mais que normalement le jeune homme devrait déjà aller mieu.
Balkman remercia le médecin et partit dans la chambre de l'infirmerie, il se posta au pied du lit du blond.

"Je ne savais pas que tu avais accepté, c'est étrange, tu veux sans doute couvrir ton père. C'est bien de ta part, finalement il aura fait son boulot. Mais le mieux c'est qu'on aura même pas besoin de rentrer avec lui."

Balkman n'avait en effet pas l'intention de retrouver un Johnson qui cherchait toujours dans l'immense ville. Il avait eu des indices aussi parviendrait il peut-être à les retrouver avant le départ.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward avait été attacher, en effet il allait mieux et avait retrouver visiblement toute sa tête

« Connard ! détachez moi ! laissez moi partir ! je n’irais pas la bas sans Julius et Roy !!! au pire allez les chercher ! »

Quitte a donner son adresse. Il ne partirait pas avec ce fout furieux doubler d’une brute épaisse. Si seulement il avait la pierre avec lui, il pourrais s’en servire, et s’enfuire ! il avait environs 5 h 30 devant lui pour se sauver, après il serais trop tard. Et oui Edward ne savais et ne pouvais pas nager.

Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 12/11/2006

Le blond avait retrouvé en partie ses moyens, les soins étaient donc efficaces mais le problème et qu'il s'agitait trop au goût de Balkman, et les dernières paroles du blond eurent raison de la patience du géant. Il prit un mouchoir et l'enduit de chloroforme puis il l'appliqua sur le visage du blond qui sombra donc dans le sommeil.
Le matin venu le bâteau était déjà partit, mais quelqu'un d'autre était au pied du lit du blond, c'était Julius qui avait finalement retrouvé leurs traces il attendait tranquillement que le blond émerge.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Tout tournait autour de lui, alors qu’il émergeait difficilement, il posa sa main métallique sur son front brûlant le rafraîchissant. Le blond avait finalement été détacher, de toute façon, il n’irait pas bien loin en pleine mer.

Lentement son cerveau se remit en marche, et ses yeux firent le point en louchant quelque instant, puis son regard se tourna vers la personne présente. Les souvenirs lui revenais, puis il se redressa d’un coup.

« Il est ou ce con que je lui en foute une !!! »

Il se tue, et regarda qui était la, puis sauta au cou de Julius soulager, de le retrouver.

« Juju !!! t’es la ! »

Nombre de messages : 73 Date d'inscription : 15/06/2008

Roy était assis dans le coin de la pièce. Il fixait le petit blond avec soulagement alors que celui-ci se réveillait . Il ne comprenait pas grand chose à ce qui se passait mais bon, visiblement Edward allait bien, c'était déjà pas mal. Il s'était quand même inquiété quand il s'était réveillais. Qu'elle idée aussi de s'endormir dans un moment pareil ?
Bon au moins point positif, il avait retrouvé le jeune homme, point négatif il ne savait absolument pas où ils se dirigeaient et ce qu'il se passait. Il soupira et continua d'observer Edward. Celui ci avait l'air plus qu'heureux de retrouver Julius. Roy ne put s'empêcher de sourire.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius avait était rejoint par Mustang totalement par hasard peu de temps avant de retrouver la trace d'Edward, il avait relativement mal accueillit le brun l'envoyant balladé à plusieurs reprises, mais devant l'insistance et la détermination de Mustang à retrouver Edward il avait cédé.
Finalment ils aveitn réussi à le retrouver, mais étaient bien sur tombés aussi sur Balkman, qui les auraient surement abattu si Julius n'était pas lui aussi un membre des services secrets américains, Balkman ne pouvait donc pas l'éliminer comme ça sans avoir ensuite de problème, et Julius le savait, mais il n'empêche que Balkman avait le pouvoir de décision ici, en effet après son rapport sur les agissements de Johnson il avait été décidé que ce-dernier devait obéir au géant. Julius n'avait pas trop le choix sinon il allait aux devants de gros ennuis et il ne voulait surtout pas y entrer Edward, Balkman avait la confiance des services secrets américains et pouvait donc si il le voulait disposer d'énormes moyens.
Julius était content de revoir Edward sain et sauf mais il ne l'enlaça que de façon évasive,il savait en effet qu'avec sa présence et celle de Mustang Balkman avait deux moyens suplémentaires de faire pression sur Edward.

"Moi aussi je suis content de te voir, mais abandonnes l'idée de t'en prendre à lui ça vaut mieux pour tout le monde crois moi."

Puis il le lacha:

"Je crois aussi que quelqu'un voudrait te voir."

Il désigna Mustang de la tête, il ne l'apréciait mais il devait bien avoué que ce dernier avait l'air de tenir à Edward, et puis il l'avait aidé alors il avait le droit de voir Edward, Julius n'était pas très amical mais n'avait rien d'un ingras.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward ronchonna un peut, mais suivrais le conseille, puis il tourna la tête.

« ROY !!! »

Fit il en bondissant sur le jeune homme brun. Il se retins pour le bisous tout de même, pas devant Julius voyons, donc ils e contenta d’une simple embrassade. Puis le relâcha, et retourna dans le lit au chaud.

« Comment vous êtes arrivé la tout les deux ? »

C’est vrai quoi, lui savais comment il était arrivé la, enfin, il pensait, mais pas pour eux deux. Et comment il c’étaient rencontrer ? il espérait qu’il ne c’était pas taper dessus. Edward connaissait l’animosité de Julius pour Mustang de leur monde. mais bon tout de même.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

"Hummmff."

Visiblement la question ne plaisait pas à Julius qui se renfrogna.

"Disons que j'ai cherché, cherché, et j'ai fini par trouver, c'est mon métier après tout. En fait au vue des descriptions faites j'ai su que Balkman t'avais emmené et je me doutai qu'il voudrait t'envoyer au Etats-Unis, j'ai alors cherché tous les bateaux en partance pour New York qui tranportait des gens, et connaissant Balkman je me doutai qu'il irait dans n bateau de luxe pour voyager, ça limitait déjà pas mal la recherche."

Puis il regarda vite fait Mustang:

"Quant à lui je l'ai croisé par hasard, apparemment il te cherchait aussi, et au final il m'a suivi, j'ai pas réussi à m'en défaire."

Il regarda sa montre:

"Le bâteau part dans 5 minutes, on va donc à New-York, j'espère juste que ça se passera bien ici."

Puis regardant Edward avec un air plus dur et sur le ton du reproche:

"Je dis ça surtout pour toi, tu dois faire plus attention."