Costa Rica

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius aperçu Edward, puis ce dernier couru dans le vide. Le guide avait bien dit qu'il y avait une sorte de passerelle invisible mais Julius avait quand même du mal à croire ce qu'il voyait. Il allait copieusement enguelé le blond quand celui-ci se jeta sur lui, Julius le regarda un instant avant de le prendre dans ses bras à son tour et de le soulever un peu puis le reposa:

"Moi aussi je suis content de voir que tu vas bien."

Julius était soulagé et ne ressentait plus de colère, les réactions spontanées du blond désamorçaient très souvent les colères potentielles de Julius et puis il n'allait pas disputer Edward alors que ce dernier s'était jeté dans ses bras tout content de le retrouver. Il sourit et frotta un peu la tête du blond avant de le lâcher:

"Bon on a plus rien à faire ici."

Puis se dirigeant vers la sortie:

"Tu as trouvé quelque chose d'intéressant avec le professeur dans ce temple ? A oui et au fait pourquoi tu as pu traversé le vide et pas moi ?"

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward le regarda, puis sauta dans le vide, il sembla perde son équilibre, puis s’assis a califourchon.

« C’est un trompe l’œil. Une peinture, qui imite a la perfection la roche, avec la hauteur de la marche, on ne peut pas se pencher, pour regarder sur les côté. Il faut être bien au centre pour pouvoir marcher dessus. Elle est étroite, mais une foi que l’one st dessus, on vois les différence, entre la roche des murs, et celle qui compose la passerelle. C’est aussi simple que ça. »

Il se releva, avec l’aide de Stuart, et ils rejoignirent Julius.

« Oui, très intéressant, mais pour pouvoir examiner ce temple, faudrait des mois, et une bonne équipe, mais tant que les deux rigolos sont la,c ‘est pas possible ! on va se contenter de ramener, la relique et elle ira dans un musé, mois je garde l’amulette sacré ! j’y ai placer la pierre philosophale dedans ! »

Il fallut donc, commencer le chemin inverse, et tentez de ne pas se perdre. Des piéges aillant été déclencher, avait boucher, certain passage et en avait ouvert d’autre, inconnu.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

*La pierre philosophale ?*

Le petit groupe sortit du temple, plia le campement et finalement repartit dans le sens inverse. Pour éviter les pièges il spassaient par un chemin différent.
Peu de temps avant la tombée de la nuit ils s'installèrent dans un endroit où les arbres laissaient un peu plus d'espace au sol. Ils installèrent deux tentes, le repas se passa bien et finalement tout le monde alla se coucher. Mais Julius ne dormait pas, il n'était pas inquiété par les deux individus qui les avaient poursuivit puisqu'aparemment ceux-ci s'étaient perdus. Non ce qui le préoccupait c'était cette pierre:

"Dis Ed, as ton avis pourquoi la pierre philosophale a-t-elle attérit ici, comment est-ce possible ? Il faut un gros niveau en alchimie pour en fabriquer une, or dans ce monde l'alchimie est du domaine de la légende.
Et puis toi comment as-tu pu fiare une transmutation dans un mond eoù l'alchimie n'existe même pas ? Enfin à ton avis il y a ici un moyen de rentrer dans notre monde ?"

Cela faisait pas mal de question, mais Julius voulait savoir avec précision de quoi il retournait.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward était allonger a plat ventre, sur une couverture, son sac, sous ses bras, pour avoir un appuis, et il faisait joujou avec sa poupée a tester la souplesse de celle ci.

Il retira son pendentif, et le montra a Julius.

« Les maya était des adepte du sacrifice, et pratiquait la Sorcellerie, qui servait a faire surtout des potion et du changement de matière, a savoir l’or. Cela ne m’étonnerais pas que leur magie, soie de l’alchimie, et pour créé la pierre, il faut la mort d’un peuple. A tout les coup, ils ont tous disparu d’un coup, permettant a un sorcier fou de créé la pierre. J’ai put pratiquer l’alchimie grâce a cette pierre. A mon avis, aussi bien si l’alchimie a été oublier il y as très longtemps, les maya, on du arrivé a la poussé a l’alchimie que toi et moi connaissons. Quand a rentrer chez nous, je ne sais pas, je voudrais voir ça avec Alphonse. »

Il remit le bijou autour de son cou, et se mit sur le dos, regardant sa poupée.

« Je la mettrais sous verre, une fois rentrer ^^ »

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius sembla assez convaincu parles explications du blond, puis à la réflexion d'Edward il sourit:

"T'y tiens drolement à cette poupée."

Puis après un petit silence:

"Si ton frère veux rester ici, qu'est-ce que tu feras ? D'après ce que tu m'as dit il a une famille, ce n'est pas évident pour lui de les ammener dans un monde qui ne sera ni celui de sa femme ni celui de son enfant. Comment ferez vous, toi qui veux rentrer si il ne le veut pas ?"

Julius ne souriait plus car il savait que cette éventualité pourrait se présenter au blond même si il ne l'espérait pas. Et il savait très bien que si cela se passait comme ça se serait un crève coeur pour Edward de faire un choix, il le mettait donc en garde.

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Edward posa la poupée, et tourna la tête vers Lulius.

« je sais, Noah, veux quitter ce monde, c’est une homa, pardon, une gitane, c’est mal vu partout. Et elle m’a dit que si elle pouvait quitter ce monde, et donner naissance a son enfant chez nous, ce serais avec joie, mais maintenant peut être que cela a changer. Je ne sais pas. »

il regarda les étoiles de nouveau, qui arrivait a percer au travers des branchage.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius resta silencieux un bon moment, décidemment Edward ne perdait jamais espoir, c'était incroyable, puis il le regarda:

"Tu aimes bien regarder les étoiles, depuis que je te connais tu les regardes presque tous les soirs..."

Puis il les regarda aussi:

"C'est joli, mais c'est trop grand, on se perd trop vite dans un ciel étoilé..."

Julius regarda ensuite la lune:

"Je préfére la lune, c'est elle qui nous éclaire la nuit, et puis elle domine le ciel même les jours sans beaucoup d'étoiles... Chez nous une histoire racontait que les grands hommes de notre peuple avaient le droit a une reconnaissance éternelle dans ce monde et qu'à leur mort Dieu faisait briller leurs ames aux yeux de tous pour l'éternité c'était leur récompense. Et celui qui a fondé notre peuple, bien avant qu'il ne soit soumis par Amestris, il y a environ 1500 ans de cela c'est la lune, son âme domine celles des autres grands hommes de notre peuple. Et si on ne les voit que la nuit c'est parce que la nuit le ciel est de la même couleure que celle de mon peuple."

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Edward se leva, et vain se mettre a ses côté, il s’assit, et posa sa main gauche sur le bras de Julius.

« C’est marrent quand même, les gens nous crois quand on dit que t’es mon père, alors que cela se vois que c’est pas le cas. Suis blanc comme un cachet d’aspirine »

En effet, en plus la lueur de la lune accentuait la pâleur de peau du blond,e t rendait ses cheveux argenté.

Puis il se rallongea et soupira, fermant les yeux.

« Bonne nuit. »

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius regardait tentôt le blond, tentôt les étoiles:

"On nous croit parceque le sgens doivent sentir qu'au fond de nous c'est la vérité, si l'on se perçoit ainsi on le devient alors auxyeux des autres. Tu sais avec toi je me suis rendu compte que la famille ce n'était pas forcemment les liens du sang."

A ces mots il ramena un peu Edward contre lui. Oui il le considérait comme son fils et était heureux qu'Edward le voit comme un père, même si il ne le lui disait pas ça se sentait. Puis il calla bien Edward contre lui pour que ce dernier ne remue pas trop, il le regarda et regarda de nouveau le ciel se disant qu'il avait enfin trouvé son chemin et sa raison d'être, il devait aider Edward et surtotu le protéger, bref jouer le rôle d'un père qu'Edward n'a quasiment pas connu, et tant qu'Edward continuera à le considérer comme tel Julius aurait une raison de continuer à avancer et mine de rien c'était un soulagement pour lui d'avoir enfin un objectif à atteindre dans sa vie, une roue à suivre.

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Edward s’endormit donc sur les paroles de Julius. C’étai bon a entendre, et il ferais de beau rêve, aussi il ne senti pas l’homme le déplacer et le caler comme il le fallait. Et le lendemain il se réveilla ainsi, il s’étira comme un chat, et.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! »

Hurla réveillant tout le monde. Il souffrait le martyre pour ses auto-mails. Du sang en apparaissant. Il se sentait comme ronger. Sa faisait si mal, de plus, sa saignait. Assit au sol, les larmes aux yeux, se mordant la lèvres au sang, sous la douleur, il déboutonnait comme il le pouvait sa chemise de sa main gauche.

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Julius dormait tranquillement quand il entendit un hurlement proche de lui, c'était Edward, aussitôt il se leva, le guide et Monsieur Stuart en firent de même d'ailleurs. Julius vit qu'Edward voulait enlevait sa chemise, aussi il l'y aida, mais une fois la chemise enlevée il découvrit pourquoi avait si mal, son automail le blessait:

"Qu'est qui se passe, pourquoi ça fait ça, qu'est ce qui faut faire Ed ?"

Julius ne savait pas quoi faire il n'y connaissait rien en automail et les deux autres hommes n'y connaissaient rien en prothèses. Julius gardait son calme mais il était nerveux, le blond était presque en pleur et il saignait donc il devait attrocement souffrir.

"Qu'est ce qu'on doit faire Ed ?"

Julius dveait bien l'admettre il était comme les autres complètement perdu face à cette situation.

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Le blond tremblait de douleur.

« Quelque chose… dans l’auto-mail, au niveau de la peau, sa fait mal, retire le ! »

Il avait littéralement l’impression d’être dévorer vivant, puis il s’agita, hurlant sous la douleur. Si bien, que monsieur Stuart, et le guide, dure l’immobilisé comme il le pouvais.

S : il faut partir d’ici et regagner la ville !

Fit l’homme. Le guide enchaîna.

G : il y as au moins 3 jours avant de rejoindre la ville !e t même je dirait 4 jours, il faut en premier rejoindre le village, mais si un insecte ou autre chose est rentrer, il faut le lui retirer ! il doit bien y avoir une manette ou un bouton non ?

S : faites quelque chose monsieur Jonshon, il a une force de tout les diable on ne le retiendra pas comme ça bien longtemps.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius souffla et s'approcha de la tête du blond:

"Désolé petit."

Et il lui pressa la carotide jusqu'à ce que le blond s'évanouisse, Julius ne supportait pas de le voir souffrir ainsi, et puis le temps qu'il se réveille ils auraient peut-être retiré l'automail:

"Je pense qu'il ne se réveillera pas avant 2 heures..."

Julius commença à regarder l'automail sous tous ses angles mais ne trouva aucune faille, il était très bien fait et lui n'y connaissait pas grand chose:

"Je sais pas quoi faire, c'est dingue ça..."

Visiblement agacé par ce constat les trois hommes reprirent la route, Julius portant Edward. Puis au boût d'une heure et demi ils s'arrêtèrent de nouveau:

"Il faudrait soulever un peu son automail histoire de créer un petit espace entre le métal et la peau, masi comment faire...Ou alors il faut le lui enlever mais on a pas les outils nécessaires ici..."

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Le problème c’est que Edward gémissait, preuve qu’il n’allais pas tarder a se réveiller.

G : on est presque arrivé au village, et il y as le bateau avec des outils la bas.

S : ma femme, saura peut être quoi faire, son père était Mécano et a travailler sur les avions, ils lui a apprit plein de chose. Dépêchons nous, il se réveille. De plus, comme elle a été infirmière par un temps, il y aura moins de risque.

La marche reprit donc. Et cela jusqu'à arrivé au village, madame Stuart, appeler Emilie, se jeta sur son mari, soulager, puis s’inquiéta pour le petit blond.

Mme S :MAIS IL SAIGNE ! ou est-il blesser !?

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

"Au bras, apparemment quelque chose est passée sous sa prothèse. Malheureusement pour le moment à part la lui arrachée je ne vois pas comment faire. J'espère que vous aurez une meilleure solution. D'après votre mari vous avez des compétences en médecinne et en mécannique, du moins un peu, ça pourrait vraiment nous aider, et le pauvre a vraiment besoin d'aide."

Julius demandait un service, à une femme en plus, le comble pour cet homme assez macho ui en plus se targuait de pouvoir faire face à toutes situations, mais la bien qu'il n'aimait pas ça il devait avouer qu'il ne savait pas quoi faire. Et ce qui l'énervait encore plus c'est qu'il était désemparé alors que la santée de celui qui était comme son fils était en jeu. Se sentir impuissant pour aider quelqu'un à qui l'on tient beaucoup est toujours difficile et Julius en faisait l'expérience. Il ne le montrait pas mais il était assez inquiet:

"Dites nous une idée et ce que l'on peut faire pour vous aider et on le fera."

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

La femme semblait gêné.

Mme S :« et bien, commençons par allez sur le bateau, ce sera plus hygiénique que ici, et faut me désinfecter l’une des cabine, ensuite, il me fait des serviette, qui auront bouilli… »

Elle énuméra tout ce dont elle avait besoin, puis, ce fut retour au bateau , désinfection d’une des cabine, puis lavage de Edward pour retirer saleté et sueur. Puis elle garda son mari avec elle et éjecta tout le monde.

Au bout de quelque minute, Julius put entendre des hurlements, monsieur Stuart, vain chercher le guide pour l’aider a tenir le blond. Julius lui n’avais pas le droit d’entrer.

Au bout de 3 heures horrible. Le couple, et le guide aillant virer au vert, ressortirent. La femme était tacher de sang en majeur parti. Et son mari, dit qu’il allait chercher des remontant pour tout le monde.

Mme S : j’ai comprit, comment lui enlever le bras sans le démonté, il y avait un système de clips. Mais le problème était au niveau du port. Un vers s’y était glisser, j’ai du lui retirer une parti du port, pour tout lui enlever, et désinfecter, puis refaire chaque connections, enfin, j’espère avoir réussi. Mais je doute qu’il pourra utiliser son bras a son aisance habituel avant un certain temps. Je lui ai remit aussi sa prothèse, et refait la connections des nez, ça l’a achever, il dort profondément maintenant. J’espère, ne jamais avoir a refaire cela. Je suis trop vielle pour ce genre d’émotion fortes.

Son époux revint avec verres et bouteille, il servi tout le monde. Cela ne ferais pas de mal. Et il s’assit, n’en pouvant plus.

G : j’ai demandez au villageois de préparer a manger pour son réveille, il a perdu pas mal de sang, faut qu’il en refasse. Ils l’on entendus crier de l’autre bout du village, ils pensait qu’un démon le possédait. D’ailleurs la fille du chef, apportera la nourriture. Vu qu’elle est amoureuse de lui…

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius avait voulu entrer deux fois, mais devant le refus de la femme il s'inclina après tout il ne serait pas plus utile que ça et c'est justement ça qui le mettait hors de lui,il se sentait tellement inutile alors que la personne à laquelle il tenait le plus au monde était en train de souffrir terriblement, lui ne pouvait rien faire, sinon attendre. Ce sentiment d'impuissance était nouveau pour lui et au combien désagréable. Il attendit derrière la porte, assis sans bouger pendant trois heures, avec sa tête des mauvais jours, ce visage qui ne donnait aucunement envi d'aller le voir, d'ailleurs la fille du chef s'était risquée à l'approché et s'était au final ravisée en voyant l'expression de Johnson.
Puis finalement se fût finit. Madame Stuart devança toutes les questions de Julius qui semblait rassurer. Puis il il prit ensuite un vert, c'était de l'alcool de coco, très fort, mais il le but d'un coup, avant d'en reprendre mais cette fois-ci en le sirotant tranquillement comme les autres.
Julius sourit à la réflexion de Monsieur Stuart, puis il regarda le couple et le guide:

"Merci, merci beaucoup à tous les trois. Je ne sais pas ce que l'on aurait fait sans vous, on vous doit une fière chandelle. Vous avez la vie ne lui a pas fait de cadeau, je suis sur qu'en ce moment il doit être très heureux de voir que des gens qu'il connaît peu peuvent lui venir en aide de cette façon."

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Un gémissement se fit entendre, Edward en caleçon se tenant a la porte. Incroyable la résistance de jeune homme, il était déjà réveiller, et debout, si cela se trouve il avait appeler, et personne ne l’avait entendus alors il c’était lever. E, sueur, encore un peut tacher de sang.

« Yo… merci… mais je meure de faim… »

Il avait des cerne violette sous les yeux, cheveux terne, mais le sourire aux lèvres tout de même, enfin, un pauvre petit sourire.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Après avoir eu du mal a démarré la conversation entre les Stuart, le guide et Julius aalait bon train. Ils discuttaient maintenant ensemble depuis presque une heure quand tout à coup le blond aparut. Il avait l'air claqué et extrêmement faible, normal vu l'épreuve qu'il venait de subir. Monsieur Stuart et le guide sourirent:

"Incroyable votre résistance jeune homme."

Mais ce n'était pas le cas de madame Stuart qui le disputa lui ordonnat de se recoucher sans faire entendre raison au blond, mais cependant on voyait bien qu'elle aussi était soulagée.
Comme souvent Julius ne s'était pas manifesté, il était resté assis, juste un léger sourire trahissait son contentement, puis finalement, très tranquillement il se leva et s'approcha d'Edward:

"Laissez le madame, après tout il faut qu'il mange et donc qu'il se lève."

Mais il voyait bien qu'Edward n'était pas au mieu, aussi tout en disant ceci il passa le bras gauche du blond autour de ses épaules pour l'aider à marché, pendant ce temps le guide était parti cherché à manger, préférant apporter la nourriture plutôt que ce soit la fille du chef qui risquait de harceler le blond trop faible pour avoir à faire face à cette fille.
Julius regarda Edward alors qu'on lui servait à manger, il remarque que tout le cops du blond semblait à bout de force et pas seulement son visage, sans doute le fait qu'il ait des muscles fins et qu'ils ne soit pas gros renforcé cette impression.

"Tu es un peu maigrichon alors manges bien. Mais pas trop vite non plus sinon tu auras du mal à digérer, et tiens toi bien, pas de grosses bouchées. Et puis pour ses prochains jours interdit de faire l'idiot tu reste tranquille."

Etc, etc... Julius assoma le blond de recommandations ce qui fit sourire madame Stuart, Edward était adulte ou en tout cas presque adulte mais là Julius le traitait comme un gamin, limite si il ne lui donnait pas à manger lui même. Mais c'est Julius s'était significatif, il était dur d'ordinaire, mais dès qu'il s'inquiétait pour le blond il devenait envahissant pas ses recommandations et beaucoup trop protecteur.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward écoutait d’une oreille distraite, trop occupé a engloutir son repas. Même faible, il avalait une quantité impressionnante pour un petit gabarie comme le sien, remarque, il devais avoir un trou noir a la place du ventre, ou un vers solitaire, ce qui serait embêtant, mais comme il n’avais faim que au heure des repas, réglé pire qu’une horloge, on pouvais exclure le vers solitaire, donc, il avait un gouffre, enfin, un trou noir a la place de l’estomac, c’était la seule explication plausible.

« Oui oui »

Répétait le blond entre deux boucher après avoir avaler. Rassurez tout ce petit monde, il n’en avais pas besoin, il savait qu’ils l’était tous, a le voir ainsi.

« Va falloir penser a repartir pour la ville quand même. J’ai du boulot qui m’attend »

Et le boulot qu’il parlait c’était recherche, et surtout cloîtrer dans un bureau. Et la il travaillerais avec le couple Stuart aussi, donc, ce serait direction l’Angleterre. Mais après la visite a son frère.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

Julius soupira voyant le blond ainsi:

"Oui oui, c'est ça, c'est ça..."

Puis les adultes mangèrent à leur tour, la nuit commença à tomber,il était 21h15 et pourtant il devait faire encore 20-25° dehors. Une brise légère et rafraichissante soufflait. Julius était sur le pont du bâteau, seul il était plongé dans ses pensées comme souvent. Il aimait particulièrement ces moments de calme où il pouvait se ressoucrer un peu seul. Chose dont il avait vraiment besoin de puis qu'il connaissait Edward, en effet pour un solitaire ce n'est pas facile de jouer le rôle d'un père quand le gamin en question est une tornade qui plus est assez étouffant. Alors Julius profitait de ces rares moments de tranquilitée. Les Stuart eux rassemblaient les affaires de chacun, le guide préparait lui le bâteau pour le retour avec les deux porteurs.

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward lui était aussi sur le pont, mais dans un hamac, et gribouillait on ne sais quoi sur son cahier a la couverture en cuir. La fille du chef avait osé venir, mais était assise par terre, en appuis contre le mur ou était accrocher l’un des côté du hamac, et jouait avec un étrange instrument une délicate musique. C’était très apaisant et faisait que le blond se perdait dans ses rêves par moment.

Finalement tout fut a bord, ils dorent au revoir, la fille du chef, vola un baiser au blond. Et ils partirent. Edward alla dessiner dans son coin. Plus jeune il était nul en dessin, mains a force d’observation, il était passer maître dans la reproduction de ce qu’il voyait. Et la a la lueur d’une lanterne, il dessinait le portait de la demoiselle.

« Je me demande, si je me marierait un jour ? »

Se posa t-il comme question.

Tueur à gages Nombre de messages : 288 Date d'inscription : 28/10/2006

La musique était en effet apaisante, des souvenirs de l'enfance remontèrent à Julius, certains même qu'il croyait avoir oublier, de la nostalgie ? sûrement.
Puis se fût l'heure du départ, les adultes remercièrent chaudement les membres de la tribue, mine de rien les départ fût un peu déchirant.
Puis le voyage commença, il faudrait trois jours pour revenir en ville. Et la direction les Etats-Unis chez le frère d'Edward.
Julius regarda Edward, il était presque minuit et le blond n'était pas couché alors qu'il était encore un peu blessé, Julius s'approcha de lui et l'entendit se questionner, il s'approcha sans faire de bruit puis une fois proche du blond:

"Ne t'inquiêtes pas tu es un beau jeune homme, intelligent et très gentil, tu as tout ce qu'il faut pour plaire aux filles crois moi. Tu en feras craquer plus d'une je te le garantit et ce même si tu ne le cherches pas..."

Puis après une pause:

"Et tu as encore tout ton temps pour y penser."

Il tendit la main à Edward pour que celui-ci se lève:

"Aller il est presque minui, au lit. Tu ne dors pas assez, on a peu dormis cette semaine et toi tu as été blessé alors tu dois récupérer. Un bon lit t'attends."

Prof d'histoire Nombre de messages : 418 Date d'inscription : 29/09/2006

Edward fit un peut la moue, mais accepta, mais a peine fut il coucher et que sa tête toucha l’oreiller, qu’il s’endormit. Et il ne se réveilla pas durant les 3 jours qui suivirent. Il retrouverais normalement les Stuart en Angleterre, car lui et Julius, passerait la frontière, et direction New York.

Visiblement Edward récupérait enfin en dormant ainsi. Seulement, la menace était toujours présente. Et la nuit il fallait accosté pour pouvoir dormir. La dernière nuit le blond entre ouvrit les yeux, fatigué et se figea, a ce qu’il voyait près de son lit.

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 04/12/2006

Comme tout droit sortit d'un cauchemar l'homme se tenait au pied de son lit, un long menteau noi et un chapeau de même couleur, il était quasiment invisible, presque un fanôme, impression qui fût renfocée quan la lumière de la lune passa un cour instant le hublot éclairant l'homme, oui on aurait dit une sorte de spectre. L'homme observait le blond sans bouger, il aurait pu le tuer d'ailleurs, mais il ne l'avait pas fait probablement pour avoir le plaisir de voir le blond pétrifié par la peur, puisque c'est ce qu'il recherchait avant tout chez ses victimes. Mais ce qu'Edward ne vit pas de suite c'est que l'homme avait une de ses victimes à ses pieds. Aussi Edward ne put s'en apercevoir que lorsque la lumière de la lune pénétra une seconde fois la pièce, l'homme en profita pour soulever le corps et le posa sur le lit, presque sur Edward, pas de trace de sang, masi il était bien mort, il était d'ailleurs déjà tout blanc, Edward ne connaissait pas la personne tuée mais avoir un corps sur son lit n'est jamais réjouissant. La lune se voila de nouveau et l'obscuritée envahit la pièce, lorsque que la lumière pénétra la chambre pour la troisième fois l'homme n'était plus au pied du lit du blond mais juste à sa tête, toujours sans un mot il leva son bras droit si Edward prenait le coup il serait à coup sur assomer et la s'en serait sûrement finit....